Comment reprend-on une vie normale après avoir vécu de l’intérieur un procès historique au retentissement mondial, celui des viols de Gisèle Pelicot par son mari et cinquante coaccusés ? Au soir du verdict, le 19 décembre 2024, ses avocats parisiens, Stéphane Babonneau et Antoine Camus, ont repris le cours de leurs affaires, mais ressentent toujours l’onde de choc de cette expérience hors du commun.
A l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, un collectif féministe a inauguré, au cœur de la capitale polonaise, un local où il sera possible de procéder à des IVG médicamenteuses. A deux mois du premier tour de l’élection présidentielle, les activistes à l’origine de cette initiative espèrent convaincre le gouvernement du premier ministre Donald Tusk de libéraliser la législation, la plus restrictive de l’Union européenne dans ce domaine.
Pour un nombre croissant de Françaises et de Français, l’afflux en continu d’actualités anxiogènes, dans les médias ou sur les réseaux sociaux, provoque un mal-être psychologique.