Le président américain a parlé d’une réunion « très productive », et le dirigeant russe, d’un entretien « constructif », sans annoncer d’accord ou de méthode pour la suite des négociations.
Hormis la réhabilitation de Vladimir Poutine sur la scène internationale, le sommet de l’Alaska n’a pas produit de résultats tangibles. Placés devant le fait accompli, les Européens doivent maintenant réagir avec fermeté.
Nul ne sait ce qui s’est négocié en Alaska et aucun accord n’a été détaillé. Incapable de contraindre son homologue russe, le président américain met la pression sur les Ukrainiens et les Européens dans le règlement du conflit.
Un accord de paix maintenant « dépend vraiment de Volodymyr Zelensky », a déclaré le président américain sur la chaîne Fox News après l’entretien avec son homologue russe, qui n’a débouché sur aucune annonce concrète.
« Exils » (16/30). Fuir l’éducation puritaine qui la corsetait était l’objectif initial de Katie Beth Kelley, à son arrivée en 2007. Mais se faire à la culture hexagonale n’a pas été évident. Dix-huit ans plus tard, cette Américaine de 39 ans s’épanouit à Montmartre.
Cela fait suite à une plainte du procureur de la ville, quelques heures plus tôt, pour ce qu’il qualifiait de « prise de contrôle hostile » de la police par le président républicain.
Jeudi, à la veille du sommet entre les présidents américain et russe, sur la base militaire d’Elmendorf-Richardson, des manifestants ont exprimé leur soutien à l’Ukraine.
Le président américain a annoncé lundi le déploiement de la garde nationale dans la capitale des Etats-Unis, parlant d’une ville « envahie par des gangs violents ».
Le premier des cryptoactifs a atteint un nouveau record, profitant des annonces de l’administration Trump favorables au secteur et de la perspective de baisse des taux d’intérêt.
Considérant que son application n’est pas assez mise en avant sur la plateforme d’Apple par rapport à celle d’OpenAI, Elon Musk menace l’entreprise à la pomme de poursuite en justice. Cette dernière nie en bloc une quelconque manipulation.
Pour Washington, l’objectif est d’impliquer le président ukrainien si possible « très rapidement » dans de futurs pourparlers de paix. La réunion doit débuter vers 11 h 30 (21 h 30 à Paris) et être suivie par une conférence de presse des présidents américain et russe, réunis pour la première fois depuis 2018.
Convaincus de leur « bonne foi », ceux qui voient dans l’Etat de droit un obstacle à l’accomplissement de la volonté populaire et ceux qui le défendent ne peuvent que s’affronter, postule la directrice éditoriale de l’Institut Montaigne dans une tribune au « Monde ».
Le président américain nourrit depuis près de vingt ans une fascination manifeste pour son homologue russe, qu’il doit rencontrer lors d’un sommet consacré à l’Ukraine vendredi, en Alaska. Son empire immobilier a largement bénéficié de capitaux privés russes.
La proposition portée par le gouverneur démocrate, Gavin Newsom, sera soumise à un scrutin en novembre. Elle vise à répondre à Donald Trump et aux républicains du Texas qui cherchent à glaner des sièges à la Chambre des représentants lors des élections de mi-mandat.
Depuis le début du mois de mai 2025, l’agence fédérale de l’immigration multiplie les arrestations de migrants dans les tribunaux administratifs de New York. Une « politique de la terreur » fortement critiquée par les avocats présents sur place.
Mexico a livré à la justice américaine 26 personnes poursuivies, notamment, pour trafic de drogue. Contre les circuits du fentanyl, Washington veut s’attaquer aux relais politiques des cartels.
Le large panorama de la santé pédiatrique outre-Atlantique, dressé par une étude publiée dans l’édition du mardi 12 août du « Journal of the American Medical Association » (« JAMA »), a tous les traits d’une catastrophe invisible.
La reprise en main du président américain dans la capitale passe également par la mise sous tutelle du récit historique national, à travers la prise de contrôle de deux institutions culturelles, le Smithsonian et le Kennedy Center.
Les menaces de Washington contre Moscou ne sont plus prises au sérieux en Ukraine et l’absence de Volodymyr Zelensky à la rencontre entre les présidents américain et russe, vendredi 15 août, choque. La conviction à Kiev est que la Russie ne renoncera jamais à prendre le contrôle de tout le pays et à décider de son avenir.