Au lendemain de la diffusion de premières images montrant Dominique Pelicot et un coaccusé pratiquer des actes sexuels sur son ancienne épouse, visiblement inconsciente, le président de la cour a décidé que ces vidéos seraient désormais diffusées seulement « à la demande d’une ou plusieurs parties » et en l’absence du public et de la presse.
Au lendemain de la diffusion de premières images montrant Dominique Pelicot et un coaccusé pratiquer des actes sexuels sur son ancienne épouse, visiblement inconsciente, le président de la cour a décidé que ces vidéos seraient désormais diffusées seulement « à la demande d’une ou plusieurs parties » et en l’absence du public et de la presse.