
Dix mois après la chute de la dynastie des Assad, la Syrie a fait son retour sur la scène internationale, à l’occasion de l’Assemblée générale des Nations Unies à New York la semaine dernière. A sa tête, Ahmed al-Charaa œuvre à l’ouverture diplomatique du pays et promet d’éradiquer le sectarisme. Des ambitions que le chef d’État porte « seul » précise le spécialiste Wassim Nasr, auditionné par la commission des Affaires Étrangères du Sénat.