« M. Poutine est la cause de cette guerre, il est la raison des morts. Il ne dictera pas les conditions de la paix », a-t-il affirmé alors que Volodymyr Zelensky a déclaré, samedi, qu’il refusait de rencontrer le président russe à Moscou.

Depuis l’effondrement meurtrier de l’auvent de la gare de Novi Sad en novembre 2024, des manifestants accusent le gouvernement de corruption et réclament des élections anticipées, ce que refuse Aleksandar Vuvic, président réélu en 2022 pour cinq ans.

Le secrétaire général du parti de droite, présidé par le ministre de l’intérieur, Bruno Retailleau, n’a pas précisé si son parti censurerait automatiquement un chef de gouvernement socialiste.