A l’approche de la cloture de la COP30 au Brésil, et 10 ans après l’Accord de Paris célébré par la France fin octobre, le constat est amer : les banques, assureurs et investisseurs français restent englués dans le soutien aux énergies fossiles, avec la complicité des décideurs publics et superviseurs.
A l’approche de la cloture de la COP30 au Brésil, et 10 ans après l’Accord de Paris célébré par la France fin octobre, le constat est amer : les banques, assureurs et investisseurs français restent englués dans le soutien aux énergies fossiles, avec la complicité des décideurs publics et superviseurs.