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08.12.2025 à 23:59

Feu vert de Trump à l'exportation de puces Nvidia vers la Chine

FRANCE24
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Ce dernier a indiqué, sur son réseau Truth Social, que Nvidia reverserait à l'Etat américain 25% du chiffre d'affaires des ventes de ces processeurs graphiques (GPU), très recherchés pour le développement de l'intelligence artificielle (IA). L'agrément porte sur les puces H200, de la gamme Hopper, Nvidia ayant lancé, fin 2024, une nouvelle ligne plus performante, la Blackwell. Il ne s'agit donc pas des produits les plus avancés du groupe américain. Les exportations de puces américaines vers la Chine sont un sujet de tension depuis plusieurs années, l'ex-président Joe Biden puis son successeur Donald Trump craignant, en particulier, qu'elles ne soient utilisées à des fins militaires. Dès 2022, le gouvernement Biden avait mis en place des restrictions à l'export. Nvidia y avait remédié en concevant un processeur graphique moins puissant, le H20, afin de satisfaire aux limites imposées par les Etats-Unis et pouvoir ainsi accéder au marché chinois. En avril, le gouvernement Trump avait interdit l'exportation de ces H20 avant de conclure un accord avec Nvidia et de réautoriser la vente de ces puces à la Chine, moyennant le versement d'une commission de 15% à l'Etat américain. Mais les autorités chinoises ont alors enjoint les industriels du pays à ne pas acheter ces puces, préférant privilégier le développement et l'utilisation de matériel chinois. Nvidia n'a réalisé que 50 millions de dollars de chiffre d'affaires en Chine au troisième trimestre et ne projetait, jusqu'ici, aucun revenu provenant de ce marché pour le trimestre en cours. En vertu de l'accord annoncé lundi par Donald Trump, le groupe pourra désormais proposer ses processeurs graphiques à des "clients autorisés" en Chine. "Le gouvernement Biden a forcé nos belles entreprises à fabriquer des produits +dégradés+ dont personne ne voulait", a commenté le président américain sur Truth Social, "une très mauvais idée qui a ralenti l'innovation et pénalisé les travailleurs américains." Le président américain cherche à limiter les bénéfices que peuvent tirer les entreprises chinoises de la technologie américaine mais entend, dans le même temps, en faire un standard dominant au plan mondial, ce qui nécessite d'autoriser son exportation. L'ancien promoteur immobilier a ainsi précisé lundi que les concurrents de Nvidia AMD et Intel auraient, eux aussi, la possibilité de s'adresser au marché chinois. Dans les échanges électroniques postérieurs à la clôture de la Bourse de New York, l'action Nvidia gagnait plus de 2%.

08.12.2025 à 23:52

Donald Trump donne son feu vert à l'exportation de puces Nvidia vers la Chine

FRANCE 24
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Le président américain Donald Trump a annoncé lundi avoir autorisé, selon des conditions ne mettant pas en péril la sécurité nationale selon lui, l'exportation par Nvidia de ses puces H200 vers la Chine et d'autres pays. Nvidia devra reverser à l'État américain 25 % du chiffre d'affaires des ventes de ces processeurs graphiques très recherchés pour le développement de l'IA.
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Le président américain Donald Trump a annoncé lundi avoir autorisé, selon des conditions ne mettant pas en péril la sécurité nationale selon lui, l'exportation par Nvidia de ses puces H200 vers la Chine et d'autres pays. Nvidia devra reverser à l'État américain 25 % du chiffre d'affaires des ventes de ces processeurs graphiques très recherchés pour le développement de l'IA.

08.12.2025 à 23:35

Mondial de hand: un de chute pour les Bleues, qui retrouveront le Danemark en quarts

FRANCE24
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Les championnes du monde en titre, déjà qualifiées avant ce match pour la première place du groupe III, terminent derrière les Néerlandaises (10 pts contre 8), qui affronteront les Hongroises. Les Bleues retrouveront donc elles mercredi les Danoises, qui les avaient éliminées en demi-finales de la dernière compétition (24-22). Si elles franchissent cette étape, elles seront opposées en demi-finales à l'Allemagne ou au Brésil, alors qu'un succès les auraient placées dans la moitié de tableau de l'épouvantail norvégien... "Je ne savais pas", a affirmé Sébastien Gardillou, au sujet de l'impossibilité de retrouver la Norvège avant une éventuelle finale. Le sélectionneur a par ailleurs relativisé la portée de cette défaite lors du premier test depuis le début de la compétition. "Rien ne m'inquiète, rien ne m'agace", a-t-il déclaré, estimant que son équipe avait "grillé" son joker, "ça fait partie de l'apprentissage en général". "Ça me pique" "Ne doutez pas qu'elles vont se remettre en question et faire mieux contre le Danemark. Je suis convaincu de notre compétence collective, de notre capacité à renverser les montagnes", a ajouté Gardillou. Tamara Horacek, capitaine d'une équipe de France privée de cinq cadres, a elle été vexée par ce premier revers après cinq succès contre des adversaires de seconde zone: "Personnellement ça me pique, je connais mes coéquipières, elles sont piquées aussi." Il jette une interrogation sur la suite du parcours, et pour aller le plus loin possible les Bleues devront régler la mire offensivement (23/41 au tir dont 1/3 à 6 mètres et 3/8 sur les ailes), après avoir beaucoup trop buté sur la gardienne Yara Ten Holte (14 arrêts sur 35 tirs, 40% de réussite) et "une défense à plat bien organisée". "Il faut faire attention parce que ça fait deux matchs (avec le précédent contre l'Argentine, NDLR) où on a beaucoup d'échecs au niveau du tir", a ainsi souligné Horacek. "Force est de constater qu'on a toujours les mêmes carences dans le duel tireur-gardien, mais ça fait partie du +game+ (jeu)", a de son côté déclaré Gardillou, se référant aux deux défaites de l'Euro-2024, face aux Danoises puis aux Hongroises. Sako retarde l'échéance Les Bleues n'ont jamais été dans le coup offensivement (1-5, 6e), chauffant Ten Holte dès le début, commettant de nombreuses pertes de balles (Kanor, 9e, Grandveau, 10e et 13e) et échouant le plus souvent à trouver des espaces dans la défense compacte néerlandaise, notamment avec les pivots. Les tentatives, pour y remédier, de jeu à sept contre six ou à deux pivots (avec Pauletta Foppa en arrière droite) ont eu peu d'effet. Et les Bleues n'ont dû qu'à la vista et aux tirs en appuis de Tamara Horacek (6/8 à la mi-temps), seule de la base arrière à parvenir à trouver la faille, aux 11 arrêts d'Hatadou Sako (parade devant Zoé Sprengers sur une balle de -4, 26e) et à une défense bien en place de ne rentrer qu'avec un but de retard à la pause (13-14). Mais Sako a baissé de pied en seconde période (quatre arrêts, 15/36 au final), qu'Horacek a essentiellement regardée du banc, un choix de Gardillou. Et les Françaises ont d'abord échoué à faire fructifier (1-1) quatre minutes d'affilée en supériorité numérique en début de seconde période (36e-40e) avant de connaître un trou d'air aux alentours de la 45e minute (19-24, 51e) duquel elles ne se sont jamais relevées.
Texte intégral (604 mots)
Les championnes du monde en titre, déjà qualifiées avant ce match pour la première place du groupe III, terminent derrière les Néerlandaises (10 pts contre 8), qui affronteront les Hongroises. Les Bleues retrouveront donc elles mercredi les Danoises, qui les avaient éliminées en demi-finales de la dernière compétition (24-22). Si elles franchissent cette étape, elles seront opposées en demi-finales à l'Allemagne ou au Brésil, alors qu'un succès les auraient placées dans la moitié de tableau de l'épouvantail norvégien... "Je ne savais pas", a affirmé Sébastien Gardillou, au sujet de l'impossibilité de retrouver la Norvège avant une éventuelle finale. Le sélectionneur a par ailleurs relativisé la portée de cette défaite lors du premier test depuis le début de la compétition. "Rien ne m'inquiète, rien ne m'agace", a-t-il déclaré, estimant que son équipe avait "grillé" son joker, "ça fait partie de l'apprentissage en général". "Ça me pique" "Ne doutez pas qu'elles vont se remettre en question et faire mieux contre le Danemark. Je suis convaincu de notre compétence collective, de notre capacité à renverser les montagnes", a ajouté Gardillou. Tamara Horacek, capitaine d'une équipe de France privée de cinq cadres, a elle été vexée par ce premier revers après cinq succès contre des adversaires de seconde zone: "Personnellement ça me pique, je connais mes coéquipières, elles sont piquées aussi." Il jette une interrogation sur la suite du parcours, et pour aller le plus loin possible les Bleues devront régler la mire offensivement (23/41 au tir dont 1/3 à 6 mètres et 3/8 sur les ailes), après avoir beaucoup trop buté sur la gardienne Yara Ten Holte (14 arrêts sur 35 tirs, 40% de réussite) et "une défense à plat bien organisée". "Il faut faire attention parce que ça fait deux matchs (avec le précédent contre l'Argentine, NDLR) où on a beaucoup d'échecs au niveau du tir", a ainsi souligné Horacek. "Force est de constater qu'on a toujours les mêmes carences dans le duel tireur-gardien, mais ça fait partie du +game+ (jeu)", a de son côté déclaré Gardillou, se référant aux deux défaites de l'Euro-2024, face aux Danoises puis aux Hongroises. Sako retarde l'échéance Les Bleues n'ont jamais été dans le coup offensivement (1-5, 6e), chauffant Ten Holte dès le début, commettant de nombreuses pertes de balles (Kanor, 9e, Grandveau, 10e et 13e) et échouant le plus souvent à trouver des espaces dans la défense compacte néerlandaise, notamment avec les pivots. Les tentatives, pour y remédier, de jeu à sept contre six ou à deux pivots (avec Pauletta Foppa en arrière droite) ont eu peu d'effet. Et les Bleues n'ont dû qu'à la vista et aux tirs en appuis de Tamara Horacek (6/8 à la mi-temps), seule de la base arrière à parvenir à trouver la faille, aux 11 arrêts d'Hatadou Sako (parade devant Zoé Sprengers sur une balle de -4, 26e) et à une défense bien en place de ne rentrer qu'avec un but de retard à la pause (13-14). Mais Sako a baissé de pied en seconde période (quatre arrêts, 15/36 au final), qu'Horacek a essentiellement regardée du banc, un choix de Gardillou. Et les Françaises ont d'abord échoué à faire fructifier (1-1) quatre minutes d'affilée en supériorité numérique en début de seconde période (36e-40e) avant de connaître un trou d'air aux alentours de la 45e minute (19-24, 51e) duquel elles ne se sont jamais relevées.
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