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17.11.2025 à 20:49

César Troisgros élu cuisinier de l'année par le Gault et Millau

FRANCE24
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Représentant de la quatrième génération d'une famille de cuisiniers couronnée par trois étoiles Michelin depuis plus d'un demi-siècle, le cuisinier de 39 ans dirige le vaisseau amiral de l'entreprise familiale depuis 2023. César Troisgros a succédé à son père Michel, lui-même sacré cuisinier de l'année par le Gault et Millau en 2003, tandis que son grand-père Pierre avait reçu le même titre en 1987. Une situation "assez unique", souligne à l'AFP Marc Esquerré, directeur des guides et des enquêtes du guide jaune. "Jamais un grand-père, un père et un fils n'ont été couronnés avec le même titre." Pour lui, cette distinction consacre "une dynastie qui a donné des cuisiniers de grands talents", mais aussi "la transmission". Formé à l'Institut Bocuse près de Lyon (quart Sud-Est) puis passé par de grandes tables françaises et américaines, César Troisgros a rejoint la Maison familiale au début des années 2010. "Il fait une cuisine qui est en harmonie avec ce que faisaient son père et son grand-père, mais il a vraiment sa propre patte", souligne Marc Esquerré. Le Bois sans feuilles, installé depuis 2017 à Ouches, prolonge une histoire née en 1930 à Roanne, lorsque ses arrière-grands-parents, Jean-Baptiste et Marie Troisgros, ouvrent leur première maison face à la gare. Leur fils Pierre y fait ses armes avec son frère Jean et reprend avec lui le restaurant familial en 1953. Rebaptisé "Les Frères Troisgros", l'établissement décroche trois étoiles, le maximum au guide Michelin, entre 1956 et 1968, porté par une cuisine inventive devenue emblématique de la Nouvelle Cuisine. César Troisgros succède à Frédéric Anton, le chef parisien triplement étoilé du Pré Catelan et du doublement étoilé restaurant Jules Verne à la Tour Eiffel.

17.11.2025 à 20:41

Déplacer les animaux sauvages, dernier recours face à la dégradation de leur habitat au Kenya

FRANCE24
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Ces déplacements d'animaux, organisés par l'agence nationale de protection de la nature (KWS), représentent selon des défenseurs de l'environnement un dernier recours dans le pays d'Afrique de l'Est, lorsque les activités humaines ou le changement climatique empêchent la survie de la faune ou sa coexistence pacifique avec l'Homme. Ces dernières semaines, des centaines de girafes, zèbres ou antilopes ont été déménagés du Ranch Kedong, un domaine privé protégé au bord du fameux lac Naivasha, vers d'autres réserves kényanes. Longtemps préservé à l'état sauvage, le territoire du Ranch Kedong a été revendu et divisé en parcelles destinées à des projets immobiliers, empêchant les animaux de paître ou d'emprunter ce couloir de passage ancestral entre les parcs nationaux de Hell's Gate et du Mont Longonot. "Une clôture est en cours d'installation, des travaux sont en cours", explique Patrick Wambugu qui a organisé l'opération pour la KWS. Les girafes étaient "isolées, stressées". Lors d'une visite de l'AFP dimanche, l'équipe de M. Wambugu a déplacé cinq girafes au cours d'une opération complexe ayant nécessité des dizaines de personnes, plusieurs véhicules et même un hélicoptère, d'où sont repérés les animaux éparpillés sur un vaste espace et d'où sont tirées des fléchettes anesthésiantes. Anesthésie dangereuse La girafe est selon un vétérinaire du KWS présent, Dominic Mijele, l'animal "le plus dur" à déplacer. Fragile, elle peut succomber à une chute, mais aussi donner des coups de sabots violents à ceux qui l'approchent. L'imposant mammifère doit être immobilisé physiquement avant de pouvoir être transporté, mais son anesthésie doit être brève car "la distance entre (son) cœur et (son) cerveau est importante", énonce-t-il. Pour permettre au cerveau de s'oxygéner, le cœur doit ainsi fonctionner à pleine capacité, quand les médicaments utilisés ralentissent le rythme cardiaque, explique encore le vétérinaire. La girafe, une fois les yeux bandés et réveillée, est dirigée à l'aide de cordes à l'intérieur d'une remorque, elle-même hissée ensuite à l'arrière d'un camion, dans laquelle elle parcourra, à côté d'une congénère, une trentaine de kilomètres jusqu'à son nouveau lieu de vie, la réserve privée Oserengoni. Une fois sur place, le vétérinaire les observera une semaine. "D'ici deux jours, elles devraient avoir établi leur territoire", estime-t-il, espérant que "dans les années à venir, leur nombre augmentera". Des opérations similaires sont menées presque chaque mois au Kenya, explique M. Mijele, principalement à cause de la dégradation de l'environnement. Mais aussi car les conflits entre l'Homme et la faune sauvage se multiplient. Dans un pays où la population était estimée en 2024 à 56,4 millions d'habitants par la Banque mondiale, contre 30 millions en 2000, la privatisation des terres s'accélère et va de pair avec une forte spéculation foncière. Dilemme Les ruraux kényans s'installent souvent dans des zones servant de refuge à la faune sauvage, note Evan Mkala, responsable de programmes pour le Fonds international pour la Protection des animaux (Ifaw), interrogé par l'AFP. Les alentours du lac Naivasha, haut-lieu touristique du pays, mais aussi zone d'activité économique croissante, est ainsi "envahi" par l'humain, observe-t-il. Face à la montée de ses eaux, un phénomène vieux de plusieurs années qui s'est encore accru ce mois-ci à la faveur de fortes pluies, des milliers de personnes ont dû être déplacées... ainsi que quatorze girafes, plus de 100 zèbres et de nombreux autres animaux. Mais ces relocalisations sont "techniques et très chères", remarque M. Mkala. Elles ne sont déclenchées que lorsqu'un "point critique" est atteint, poursuit-il. Ce qui arrive toutefois de plus en plus fréquemment au Kenya. Dans un pays comptant des centaines de parc naturels et de réserves privées, qui génèrent d'importants revenus touristiques, il s'agit donc de "concilier" croissance démographique, développement économique et préservation de la faune, affirme Philip Muruthi, le vice-président de la Fondation pour la faune africaine. "Devons-nous faire des compromis? Ou devons-nous simplement identifier les zones à protéger et celles que nous risquons de perdre" pour l'habitat sauvage?, s'interroge-t-il lors d'un entretien avec l'AFP. Un dilemme que rencontrent nombre de pays africains, alors que le continent connaît une forte augmentation de sa population. Mais "l'Afrique n'a pas à choisir entre la conservation de la faune sauvage, la protection de la nature et le développement", tranche M. Muruthi, pour qui le bien-être des humains et celui des animaux est "indissociable".

17.11.2025 à 20:32

Cisjordanie occupée : Netanyahu dénonce les violences "d'une poignée d'extrémistes" israéliens

FRANCE 24
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Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a dénoncé, lundi soir, les violences d'une "poignée d'extrémistes" non représentative, selon lui, des colons qui vivent en Cisjordanie occupée. Cette déclaration intervient après une nouvelle attaque contre un village palestinien.
Texte intégral (783 mots)
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a dénoncé, lundi soir, les violences d'une "poignée d'extrémistes" non représentative, selon lui, des colons qui vivent en Cisjordanie occupée. Cette déclaration intervient après une nouvelle attaque contre un village palestinien.
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