L’État promettait une «reprise rapide» de la scolarité. Mais entre bâtiments détruits, salaires impayés et manque d’eau potable dans les établissements, la rentrée post-cyclone a viré au cauchemar dans le département.
L’État promettait une «reprise rapide» de la scolarité. Mais entre bâtiments détruits, salaires impayés et manque d’eau potable dans les établissements, la rentrée post-cyclone a viré au cauchemar dans le département.