Les salariés de la verrerie de Vergèze, dans le Gard, occupent l’entrée de leur usine pour mettre la pression sur les négociations de leur plan social. Et partagent l’état d’esprit des manifestations du 2 octobre, entre ressentiment envers le pouvoir et les patrons, et grosse fatigue sociale.
Les salariés de la verrerie de Vergèze, dans le Gard, occupent l’entrée de leur usine pour mettre la pression sur les négociations de leur plan social. Et partagent l’état d’esprit des manifestations du 2 octobre, entre ressentiment envers le pouvoir et les patrons, et grosse fatigue sociale.