L’ONG est attaquée par plusieurs ex-salariés et une ancienne présidente, qui dénoncent un système d’alerte interne dévoyé pour les exclure et du harcèlement moral. La fuite d’une boucle WhatsApp de dirigeants est particulièrement embarrassante pour l’ONG, qui reconnaît de «fortes tensions» à l’époque des faits, jusqu’en 2023.
L’ONG est attaquée par plusieurs ex-salariés et une ancienne présidente, qui dénoncent un système d’alerte interne dévoyé pour les exclure et du harcèlement moral. La fuite d’une boucle WhatsApp de dirigeants est particulièrement embarrassante pour l’ONG, qui reconnaît de «fortes tensions» à l’époque des faits, jusqu’en 2023.