Silence de Mélenchon, réaction bien molle du premier secrétaire du Parti socialiste… Prises en étau entre le risque de conforter l’idée d’un «procès politique» et celui, plus prosaïque, de rappeler leurs propres affaires, les forces de gauche ne tirent aucune leçon de l’affaire libyenne et n’appellent à aucune réforme.
Silence de Mélenchon, réaction bien molle du premier secrétaire du Parti socialiste… Prises en étau entre le risque de conforter l’idée d’un «procès politique» et celui, plus prosaïque, de rappeler leurs propres affaires, les forces de gauche ne tirent aucune leçon de l’affaire libyenne et n’appellent à aucune réforme.