De ses traces dans la Préhistoire jusqu’aux catacombes romaines, elle témoigne de notre être humain et spirituel. Dans sa chronique hebdomadaire, Frédéric Boyer met en lumière l’universalité de l’ocre, couleur du soin et de la présence.
De ses traces dans la Préhistoire jusqu’aux catacombes romaines, elle témoigne de notre être humain et spirituel. Dans sa chronique hebdomadaire, Frédéric Boyer met en lumière l’universalité de l’ocre, couleur du soin et de la présence.