L’expression d’« Église sans peuple », utilisée pour qualifier l’état du catholicisme français, est largement trompeuse, estime Jean-Louis Souletie. À ses yeux, dans une société où les cadres de la foi ont profondément changé, l’enjeu est de comprendre comment peut encore se constituer un peuple croyant.
L’expression d’« Église sans peuple », utilisée pour qualifier l’état du catholicisme français, est largement trompeuse, estime Jean-Louis Souletie. À ses yeux, dans une société où les cadres de la foi ont profondément changé, l’enjeu est de comprendre comment peut encore se constituer un peuple croyant.