Série « Les grands noms de la science-fiction »La romancière, décédée en 2006, est non seulement une pionnière de la science-fiction afro-américaine et féministe, mais également une penseuse de la complexité, qui rejette tout manichéisme, célèbre les vertus du métissage, du collectif et de l’empathie. Une figure visionnaire, longtemps ignorée de son vivant, qu’il faut lire à tout prix.

TRIBUNE // Immergé dans le monde de la tech depuis près de trente ans, Philippe Ensarguet conseille des fonds d’investissement dans leur stratégie d’investissement et accompagne des startups dans le milieu. Il est aussi membre de Tech.Rocks, une communauté professionnelle qui fédère les leaders dans la tech en France. Il sera co-président du Tech.Rocks Summit les 2 et 3 décembre prochains au Théâtre de Paris autour du thème « Résilience, écosystème en mouvement ».

Le Président des États-Unis d’Amérique est une figure essentielle du monde moderne et son élection, qui aura lieu le 5 novembre prochain, est toujours scrutée avec attention par l’ensemble de la planète. Mais qu’en est-il de sa place dans la littérature spéculative ? Comment la science-fiction s’est-elle emparée du thème pour interroger l’électoralisme à l’américaine et anticiper le futur démocratique de la première puissance mondiale ? Pistes de réponses avec trois textes courts à (re)lire qui nous plongent dans trois visions et trois époques.

En 1906, le compositeur américain John Philip Sousa, connu pour ses morceaux de fanfare militaire, alerte les auditeurs du monde entier : la musique enregistrée, via l’avènement du gramophone, sonne le glas de la pratique musicale. Alarmisme technophobe ou lucidité implacable ? 118 ans plus tard, on a fait le bilan dans le magazine de printemps 2024 d’Usbek & Rica.

[FUTURE-CHECKING] Professeur en médecine à New York, Sam Parnia prédit que dans le futur, nombre de personnes qui seraient de nos jours déclarées mortes pourront être « ramenées à la vie ». Son argumentaire, qui trouble la manière dont nous concevons notre propre fin, fait néanmoins débat parmi les spécialistes du trépas. Jusqu’où peut-on vraiment repousser les frontières de la mort ?

Un long article du bimestriel américain Foreign Affairs revient sur les conséquences de la chute de la natalité en cours dans de nombreux pays, et qui devrait se prolonger à l’échelle mondiale. Sans catastrophisme, ni angélisme.