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10.05.2025 à 09:53

"Golfe d'Amérique" : le Mexique poursuit Google pour avoir repris l'appellation de Trump

FRANCE 24

Le Mexique a lancé des poursuites contre Google pour avoir changé le nom du golfe du Mexique en golfe d'Amérique pour les utilisateurs de l'application Google Maps aux États-Unis en s'alignant sur une décision de Donald Trump, a indiqué vendredi la présidente Claudia Sheinbaum.

10.05.2025 à 09:29

Chine et Etats-Unis : des négociations commerciales pour calmer le jeu

FRANCE24

Les discussions - au plus haut niveau depuis le début de l'affrontement à coup de droits de douane au retour de Donald Trump à la Maison Blanche - sont prévues samedi et dimanche dans la ville suisse du bord du lac Léman et vont réunir le secrétaire américain au Trésor Scott Bessent, le représentant au Commerce Jamieson Greer et le vice-Premier ministre chinois He Lifeng. Le lieu de réunion est entouré du plus grand secret. Vendredi, Donald Trump a fait un geste en suggérant de baisser à 80% les droits de douane punitifs qu'il a lui-même imposés sur les produits chinois. "Le président aimerait régler le problème avec la Chine. Comme il l'a dit, il aimerait apaiser la situation", a lancé vendredi soir le secrétaire au Commerce Howard Lutnick, sur Fox News. Le geste reste symbolique, car à ce niveau les droits de douane ne seraient toujours pas supportables pour la plupart des exportations chinoises vers les Etats-Unis. Depuis son retour à la Maison Blanche en janvier, Donald Trump a fait des droits de douane un outil politique. Il a imposé une surtaxe de 145% sur les marchandises venant de Chine, en plus des droits de douane préexistants. Pékin, qui a promis de combattre "jusqu'au bout" les surtaxes de Donald Trump, a riposté avec 125% de droits de douane sur les produits américains. Résultat: les échanges bilatéraux sont pratiquement à l'arrêt et les marchés ont connu de violents soubresauts. Les discussions prévues à Genève sont donc "un pas positif et constructif vers la désescalade", a estimé la directrice générale de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) Ngozi Okonjo-Iweala à la veille des discussions. Pour le ministre de l'Economie du pays hôte, Guy Parmelin, c'est déjà "un succès" que "les deux parties se parlent". Désescalade Le vice-Premier ministre chinois semble arriver à la table des discussions avec un atout. Pékin a annoncé vendredi un bond de 8,1% de ses exportations en avril, un chiffre quatre fois supérieur aux prévisions des analystes, mais les exportations vers les Etats-Unis ont chuté de près de 18%. Si l'on en croit les Chinois, ce sont aussi les Américains qui ont demandé à avoir ces discussions. Donald Trump "ne va pas unilatéralement baisser les droits de douane sur la Chine. On doit aussi voir des concessions de leur part", a averti sa porte-parole, Karoline Leavitt. "Je pense que c'est le résultat qu'espère le président, un monde de désescalade où nous recommencerons à commercer les uns avec les autres, et où nous travaillerons ensemble sur un grand accord", a expliqué jeudi le ministre du Commerce Howard Lutnick à la chaîne de télévision CNBC. Quel résultat ? "Un résultat possible des discussions en Suisse serait un accord pour suspendre la plupart, voire la totalité, des droits de douane imposés cette année, et cela pendant la durée des négociations" bilatérales, déclare à l'AFP Bonnie Glaser, qui dirige le programme Indo-Pacifique du German Marshall Fund, un cercle de réflexion à Washington. Spécialiste de l'économie chinoise à l'Asia Society Policy Institute, organisation basée aux Etats-Unis, Lizzi Lee s'attend à un potentiel "geste symbolique et provisoire", qui pourrait "apaiser les tensions, mais pas régler les désaccords fondamentaux". Sur le plan "pratique", cela coince aussi, selon Bill Reinsch, expert du Center for Strategic and International Studies. Donald Trump veut rencontrer son homologue Xi Jinping, "trouver un accord avec lui, et qu'ensuite leurs subordonnés règlent les détails", décrit-il à l'AFP, alors que les Chinois "veulent que tous les sujets soient réglés avant une réunion" des deux présidents. Xu Bin, professeur à l'école de commerce international Chine Europe (CEIBS) de Shanghaï ne s'attend pas à ce que les droits de douane reviennent à un "niveau raisonnable": "Même si cela descend, ce sera probablement de moitié, et, là encore, ce sera trop haut pour avoir des échanges commerciaux normaux." burs-vog/pt

10.05.2025 à 08:57

En Isère, une commémoration de la guerre au parfum d'huile de moteur

FRANCE24

Sur son vaste terrain en bord de route dans la campagne iséroise entre Grenoble et Valence, trônent des centaines de carcasses de Jeeps, ambulances, camions, utilitaires et même quelques chars, à demi-désossés, cabossés ou envahis par la mousse et les ronces. Dans un hangar, où flotte un fumet persistant d'huile de moteur, des milliers de tonnes de pièces détachées issues des mêmes engins, tous made in USA, attendent elles aussi le chaland. La petite affaire de ce spécialiste de pièces détachées et véhicules américains de la Seconde Guerre mondiale, qu'il dirige depuis maintenant 40 ans, est née en 1945 des mains de son père Jean Lascoumes, un mécanicien enthousiasmé par la qualité "exceptionnelle" des véhicules américains déployés pendant la guerre. Trois anniversaires sont célébrés pendant le pont du 8 mai par ce grand costaud vêtu de kaki: "le 100e anniversaire de la naissance de mon père, le 80e anniversaire de la Victoire, et puis mon 60e anniversaire le 12" mai, explique-t-il. Au programme: vente aux enchères, chansons d'époque, défilé de mode des années 40. "On est typiquement des enfants du plan Marshall", sourit le propriétaire en référence au plan de reconstruction de l'Europe mis sur pied après la guerre par le général américain George Marshall. Le grand nombre de véhicules laissés derrière eux par les États-Unis après le conflit dans le cadre de ce plan, réemployés au civil, par exemple dans le bâtiment, les réseaux EDF, les barrages ou par les pompiers, "ont permis de reconstruire très vite" le continent, rappelle-t-il. Ce n'est qu'à partir des années 80 que les usages professionnels des véhicules ont progressivement disparu et qu'est apparue à leur place une clientèle de collectionneurs amoureux de la bidouille et prêts à investir des sommes conséquentes dans leur passion. "Il faut imaginer que la rénovation d'un véhicule militaire, c'est d'abord un plaisir. Les samedis après-midi, les weekends, les vacances, que les gens passent à rénover leur véhicule, c'est des instants de plaisir, ce n'est pas des instants de travail", s'amuse M. Lascoumes. "Ce qui attire les gens ici, c'est qu'effectivement, je ne connais pas de stock plus important de ce matériel. Je suis quasiment sûr qu'en Europe, il n'y en a pas", se rengorge-t-il. Pour lui, les festivités du weekend pourraient prendre une tournure plus personnelle puisqu'il songe à "se séparer de ses jouets" et va se mettre en quête d'un repreneur. "J'adore ça" Parmi les visiteurs du weekend, des membres de l'AVM 74 (Amicale des véhicules militaires de Haute-Savoie), venus, en costumes d'époque, exposer avec fierté leur matériel. Rémi Nater, 62 ans, a passé un an à retaper un Dodge WC 52, véhicule multifonction équipé d'une mitraillette et d'un drapeau américain et dont les papiers attestent qu'il date de 1943. "Je suis en train de voir où il aurait débarqué" pendant la guerre, s'enthousiasme-t-il. Lorsqu'il le met en route pour une démonstration, le bruit du moteur est assourdissant, le volant très dur à tourner et le vent décoiffant en l'absence de portières, mais "j'adore ça", confesse-t-il. Déambulant en quête de coup de cœur parmi les rangées de vieilles autos décaties, Andrea Costa, un touriste italien, se reconnaît volontiers atteint du même virus: "Quand je vois ça, la première chose qui me vient en tête, c'est que j'ai envie de retaper tous ces véhicules". "J'ai tellement entendu des histoires de guerre quand j'étais petit, de mon père avec son meilleur ami, que c'est presque comme si j'avais vécu ça", relève-t-il, fasciné par "ce que ces objets ont vécu, toute cette période assez terrible". "Et de temps en temps, en 2025, on pense, est-ce que c'est possible que ça arrive à nouveau ? On est dans une période assez trouble", observe-t-il. "Qui ignore son histoire s'expose à la revivre", abonde Jacques Lascoumes, qui cite volontiers les mémoires de De Gaulle, Churchill et d'autres.

10.05.2025 à 08:41

Klapisch, cinéaste générationnel enfin programmé à Cannes, va "kiffer!"

FRANCE24

Son dernier film, "La Venue de l'avenir", sera présenté hors-compétition le jeudi 22 mai. Et sortira en même temps dans les salles françaises. Comme toujours chez Cédric Klapisch, cinéaste de troupe, le casting brosse large, de Suzanne Lindon à Vincent Macaigne en passant par le fidèle Zinedine Soualem, Paul Kircher, Sara Giraudeau, Cécile de France, François Berléand et Olivier Gourmet, ainsi que Claire Pommet (la chanteuse Pomme). Cette sélection officielle, "ça arrive tard, donc il y a quand même un plaisir encore plus grand, parce que j'ai attendu longtemps !", sourit Cédric Klapisch lors d'une interview à l'AFP. "Ca va être plaisant. Je n'ai pas eu le droit pendant longtemps, je vais kiffer, je crois !" "Problème de riche" Le cinéaste, qui appartient au cercle restreint des réalisateurs français remplissant les salles, avec sept longs-métrages ayant dépassé le million d'entrées - dont "Un air de famille" (1996), "L'Auberge espagnole" (2002), "Les Poupées russes" (2005) ou l'avant-dernier "En Corps" (2022) -, n'a jamais eu totalement la carte du cinéma d'auteur, qui ouvre les portes du Palais des festivals. Il l'a parfois regretté, surtout pour ses dernières oeuvres, depuis "Ce qui nous lie" (2017). Son plus grand succès, "L'Auberge espagnole", avec Romain Duris, avait été montré aux sélectionneurs : "ils ne l'avaient pas pris mais je n'attendais pas à être pris en ce temps-là. Sur d'autres films, je me suis dit : +Tiens, c'est dommage+", confie Klapisch. Mais "je ne peux pas me plaindre parce que je sais que le fait d'être populaire, de ne pas être considéré complètement comme quelqu'un de sérieux, comme un vrai auteur avec un grand nom parce qu'on fait des entrées, c'est un problème de riche", convient-il. Et, finalement, pas besoin d'avoir un film en sélection officielle pour profiter du Festival de Cannes, comme le raconte son ami et co-scénariste Santiago Amigorena, qui vient de sortir "Le Festival de Cannes ou Le Temps perdu" (POL), ouvrage où il rapporte comment ils ont fait les 400 coups sur la Croisette. "On va faire la fête" "La première année où on y va, c'était en 1985", se souvient Klapisch. "Ca fait 40 ans et donc, à mon avis, j'ai bien été entre 30 et 35 fois à Cannes... C'est des super souvenirs à la fois de projections de films, de rencontres et puis de fêtes aussi !" "C'était plus joyeux de ne pas être invité aux fêtes et d'arriver à y entrer... Maintenant, on est invité partout, il y a un petit côté blasé. (Mais) on va faire la fête à Cannes, surtout cette année", sourit-il. Quant à son film, mi-contemporain, mi-d'époque, il retrace l'histoire d'un groupe de personnes qui ne se connaissent pas mais apprennent qu'ils ont hérité d'une grande maison inhabitée de la part d'une ancêtre commune. L'occasion d'un voyage dans le temps, au début des années 1900, lorsque la photographie et le cinéma faisaient leurs premiers pas. "J'avais envie de me surprendre ! C'est mon 15e film donc, forcément, il y a à la fois un désir de continuité mais aussi de renouveler, de moderniser un peu les choses que j'ai pu faire avant", raconte le réalisateur. Le début du XXe siècle, "c'est une époque que j'aime beaucoup, qui m'a toujours un peu obsédé ou, en tout cas, fasciné. Et j'avais envie de voir ce que ça fait de faire un film d'époque, avec des costumes d'époque."

10.05.2025 à 08:33

Frontaliers, vos papiers : nouvelles règles, vieux souvenirs à l'entrée en Allemagne

FRANCE24

Sur le pont séparant Guben, petite commune allemande, de sa jumelle polonaise Gubin, un policier allemand lève à intervalles réguliers son panneau "Halt" ("Stop") rouge et blanc, à l'adresse des automobilistes. Une scène en passe de devenir routinière avec l'annonce cette semaine par le nouveau gouvernement de Friedrich Merz du refoulement aux frontières de la plupart des demandeurs d'asile, "sauf les groupes vulnérables, comme les enfants et les femmes enceintes". Ce nouveau tour de vis migratoire s'accompagne du déploiement de policiers supplémentaires aux points d'entrée vers l'Allemagne, déjà visibles vendredi le long de la frontière avec la Pologne, selon des témoignages recueillis sur place par l'AFP. "Les souvenirs remontent à la surface", s'émeut Bartlomiej Bartczak, 47 ans. "On a vécu tout ça enfant" "On a vécu tout ça quand on était enfant, puis on a connu cette période sans contrôles aux frontières, sans papiers d'identité. Et soudain, on revient à cette époque", décrit ce consultant polonais, habitant de Gubin dont il fut maire sans étiquette pendant 18 ans jusqu'à l'an dernier. Le gouvernement polonais a été l'un des premiers à exprimer son irritation, malgré les assurances de Friedrich Merz d'une action menée en concertation avec les pays voisins. L'immigration appelle une "solution européenne commune", a averti la présidente de la Commission Ursula von der Leyen en recevant le dirigeant allemand vendredi à Bruxelles. Guben et Gubin, deux villes d'environ 15.000 habitants, ne formaient autrefois qu'une seule cité qui fut divisée par la frontière germano-polonaise tracée le long de la rivière Neisse après la Seconde Guerre mondiale. Le trafic restait fluide en fin de semaine d'une rive à l'autre, les policiers arrêtant les camionnettes et laissant passer les voitures. "Les agents sont tellement expérimentés qu'ils savent reconnaître à la plaque d'immatriculation s'ils doivent effectuer un contrôle", affirme Fred Mahro, le maire de Guben l'allemande où de très nombreux frontaliers polonais viennent travailler. "Important d'agir" Cet élu de l'Union chrétienne-démocrate (CDU), le parti conservateur de Friedrich Merz, accueille avec satisfaction les nouvelles mesures qu'il souhaite "permanentes jusqu'à ce que les frontières extérieures de l'Europe soient sécurisées". "Il était important d'agir", assure l'élu de 64 ans, reprenant les arguments du gouvernement qui entend enrayer la progression continue du parti d'extrême droite AfD, devenu première force d'opposition au parlement. Les chiffres de l'immigration "sont trop élevés, la charge est trop lourde, les communes sont débordées, le système de santé est débordé, le système social est débordé", a affirmé cette semaine le nouveau ministre de l'Intérieur Alexander Dobrindt. Au total, 250.945 personnes ont demandé l'asile en Allemagne l'an dernier, soit une baisse de 28,7% par rapport à 2023, après une hausse significative depuis 2020. En décembre 2007, la Pologne est entrée dans l'espace Schengen de libre circulation et les postes-frontières entre Guben et Gubin ont disparu. Mais le principe de libre circulation, l'un des socles de la construction européenne, a été malmené depuis cinq ans, d'abord face à la pandémie de Covid-19 qui a conduit à des restrictions aux frontières, puis avec le durcissement des politiques migratoires. Equilibre En septembre 2024, Berlin avait déjà rétabli des contrôles contre l'immigration illégale à l'ensemble de ses frontières, sous l'impulsion du chancelier social-démocrate Olaf Scholz qui avait froissé les voisins de l'Allemagne. Alors qu'il accompagnait il y a quelques mois une délégation chinoise souhaitant implanter une usine dans la région, Bartlomiej Bartczak raconte avoir été "pris dans des embouteillages" inimaginables entre Berlin et la Pologne, à cause des contrôles, et il s'inquiète pour l'activité économique locale. Tout en admettant qu'il faut "trouver un équilibre" entre "libre circulation" et "protection". Plus d'un million de migrants, essentiellement des Syriens et des Afghans fuyant la guerre, avaient trouvé refuge en Allemagne durant la "crise migratoire" des années 2015-2016. Les demandes d'asile, qui avaient culminé à près de 900.000 en 2015 en Allemagne, se sont réduites au fil de la décennie.

10.05.2025 à 08:29

Top 14: duel à distance entre Toulon et l'UBB, émotion attendue après la mort de Raisuqe

FRANCE24

. Toulon et l'UBB, objectif demie A 10 points du Stade Toulousain qui, sauf catastrophe, devrait décrocher un des deux billets de qualification directe pour les demies, le dauphin Bordeaux-Bègles doit à présent gérer un calendrier chargé, après avoir battu ces mêmes Toulousains en demies de Champions Cup ce week-end. Les joueurs de l'UBB se déplacent donc dimanche avec une équipe fortement remaniée à Montpellier, 9e après une difficile victoire contre Perpignan (19-13) mais qui peut toujours espérer viser le Top 6, à un point seulement. Battus à la maison par La Rochelle lors de la dernière journée, les Girondins (69 points) restent sous la menace de Toulon (67 points). Meilleure équipe du championnat à domicile avec 51 points sur 55 possibles, les Toulonnais restent sur une sévère défaite à Vannes (29-19), la lanterne rouge. Ils reçoivent au stade Vélodrome de Marseille le Stade Toulousain. Sonné après son élimination en Champions Cup, le champion en titre s'attend à un match rude: "ça va cogner fort", prédit Laurent Thuéry, entraîneur de la défense toulousaine. Certains cadres de Toulouse devraient être reconduits, aux côtés de jeunes comme le centre Paul Costes, qui voit dans cette affiche une belle occasion de rebondir vite: "Quand on est encore à chaud, c'est beaucoup mieux d'enchaîner, encore plus quand c'est un gros match avec un concurrent direct", a-t-il assuré. . Le temps du deuil à Castres L'affiche attendue dans la lutte pour les barrages entre Castres et Clermont, initialement prévue samedi à 14h30, n'aura pas lieu ce week-end. Le Castres Olympique, endeuillé par le décès jeudi de Josaia Raisuqe, tué au volant de sa voiture percutée par un train à un passage à niveau, a obtenu le report de son match face aux Auvergnats. La rencontre a été reprogrammée par la Ligue au week-end du 24 mai, alors qu'un hommage, avec notamment une minute d'applaudissements, sera organisé sur toutes les pelouses ce week-end. Le CO a invité les supporters à se réunir samedi à 11h00 devant le stade Pierre-Fabre pour un moment de recueillement. . Objectif barrages Qualifié pour la finale du Challenge européen le week-end dernier, Lyon veut enchaîner face à une équipe de Pau bringuebalante et qui reste sur trois défaites consécutives. Dans la lutte acharnée pour le Top 6, seul Bayonne (4e, 58 points), semble avoir de la marge. Un succès sur les terres du Racing 92 pourrait même permettre aux Basques de viser un barrage à domicile, une première. A seulement trois points de la 6e place, le Racing, 10e, "n'est pas loin d'un côté, mais on n'est pas loin du précipice de l'autre" grimace son entraîneur Patrice Collazo, qui se refuse à parler de qualification. "Si on perd, on se remet la pression", abonde le deuxième ligne Boris Palu. . La Rochelle pour poursuivre sa remontée Après avoir mis fin à son hiver morose et à sa série de neuf matchs sans victoire, La Rochelle a réalisé un joli coup en s'imposant à Bordeaux (21-10), et revient dans la course à la qualification. Grâce à un paquet d'avants retrouvé, les Maritimes visent un troisième succès d'affilée, sur la pelouse de Vannes qui s'était imposé à Marcel-Deflandre au match aller. Lanterne rouge, Vannes n'a pas encore rendu l'âme. Grâce à son premier succès bonifié de la saison, contre le RCT, les Bretons ne sont qu'à un point de Perpignan et du Stade français. Une raison de plus d'espérer pour les Vannetais: Catalans et Soldats roses s'affrontent à Aimé-Giral, ce qui en cas de succès breton pourrait permettre à Vannes d'abandonner sa dernière place au classement.
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