Le raid, qui a fait au moins quatorze morts, constitue un nouveau coup dur pour le mouvement libanais après une série d’explosions meurtrières, imputées à l’Etat hébreu, ayant visé cette semaine ses systèmes de transmission. « Très inquiète », l’ONU a appelé à la « désescalade » et à la « retenue maximale ».

Deux ans après le mouvement populaire qui avait chassé du pouvoir le président Rajapaksa, accusé d’avoir fait du pays le plus développé d’Asie du Sud un Etat en faillite, les citoyens sont appelés, samedi, à élire leur nouveau dirigeant.