Le 23 octobre, Laurence Ferrari recevait le Premier ministre israélien interrogé comme un dirigeant national, ce qu’il est, et non comme le pirate du droit international et le responsable de crimes de guerre qu’il est aussi.
Le 23 octobre, Laurence Ferrari recevait le Premier ministre israélien interrogé comme un dirigeant national, ce qu’il est, et non comme le pirate du droit international et le responsable de crimes de guerre qu’il est aussi.