Après « Bloquons tout » le 10 septembre, les organisations syndicales veulent amplifier les mobilisations et s’appuyer sur l’exaspération générale pour peser sur les choix du prochain gouvernement. En attendant la suite.

Entre 44, 35 ou 21 milliards d’économies, qui dit vrai ? Derrière les annonces politiques, le véritable effort budgétaire auquel nous contraignent les règles européennes est bien moindre que celui avancé par le précédent gouvernement.

Le sociologue explique comment la réglementation et le trucage organisé du « dieselgate » ont orienté les constructeurs européens vers des véhicules plus massifs et plus chers. Et les ont conduits dans une impasse stratégique.

[Les idées reçues sur l’énergie] Des politiques de tous bords vantent certaines énergies décarbonées et prévisibles. Mais, dans l’objectif de se passer des fossiles, leur coût et leur complexité les empêchent de remplacer le solaire et l’éolien.

Arnaud Bontemps, co-porte-parole du collectif Nos services publics, détaille trois chantiers indispensables pour sortir la France de l’impasse budgétaire sans sacrifier les enjeux écologiques et sociaux.

[Ce qui nous lie] Cinq ans après la pandémie, les travailleurs du social et de la santé sont-ils en mesure de reprendre le contrôle sur leur pratique professionnelle ? Des modèles plus vertueux peuvent-ils se mettre en place ?

Ce dimanche, Sébastien Lecornu a remballé la mesure la plus iconique (comme on dit au journal de 20 heures) du feu-budget de François Bayrou.

La Commission a proposé des mesures de rétorsion à l’égard de l’Etat hébreu. Mais faute de prise de position forte de la part de la France, l’Allemagne et l’Italie continuent de bloquer.

[Ce qui nous lie] Pourquoi les professionnels du « care » ne sont-ils pas reconnus à leur juste valeur ? Ce premier podcast dresse un état des lieux du secteur et revient sur les choix politiques qui pourraient changer la donne.

[Les idées reçues sur l’énergie] Beaucoup pensent qu’il faudrait arrêter de subventionner l’éolien et le photovoltaïque, qui coûteraient un pognon de dingue, alors que la France peut s’appuyer sur son nucléaire. Vraiment ?