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19.05.2024 à 10:54

Face à la guerre qui dure, l'armée ukrainienne recrute

FRANCE24

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La Russie continue d'avancer en Ukraine. Moscou s'est emparé du village de Staritsa près de Vovtchansk, une ville situé à une cinquantaine de kilomètres de Kharkiv. Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, s'attend à une offensive russe de plus grande ampleur dans le nord et dans l'est du pays. Pour faire face à l'armée russe, la loi sur la mobilisation est entrée en vigueur. L'âge légal minimum passe de 27 à 25 ans.
La Russie continue d'avancer en Ukraine. Moscou s'est emparé du village de Staritsa près de Vovtchansk, une ville situé à une cinquantaine de kilomètres de Kharkiv. Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, s'attend à une offensive russe de plus grande ampleur dans le nord et dans l'est du pays. Pour faire face à l'armée russe, la loi sur la mobilisation est entrée en vigueur. L'âge légal minimum passe de 27 à 25 ans.

19.05.2024 à 10:49

Nouvelle-Calédonie : l'État a lancé son opération pour reprendre le contrôle de l'île

FRANCE24

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En Nouvelle-Calédonie, l'État français est passé à l'offensive dimanche 19 mai. Après six jours d'émeutes et la mort de six personnes sur l'île, les forces de l'ordre ont mené une opération d'envergure pour tenter de "reprendre totalement la maîtrise" du territoire. Un convoi de 600 gendarmes est parti de Nouméa pour tenter de dégager la route principale menant à l'aéroport international, entravée par des barrages.
En Nouvelle-Calédonie, l'État français est passé à l'offensive dimanche 19 mai. Après six jours d'émeutes et la mort de six personnes sur l'île, les forces de l'ordre ont mené une opération d'envergure pour tenter de "reprendre totalement la maîtrise" du territoire. Un convoi de 600 gendarmes est parti de Nouméa pour tenter de dégager la route principale menant à l'aéroport international, entravée par des barrages.

19.05.2024 à 10:43

Dans le désert de Néguev, Israël rase plusieurs villages bédouins pour faire une route

FRANCE24

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Dans le désert du Néguev, des minorités bédouines palestiniennes redoutent des expulsions forcées. L'État israélien considère qu'elles se sont installées sans permis de construire. Un projet d'expansion d'une route menace plusieurs villages non reconnus. Claire Duhamel et Mohamed Farhat ont rencontré pour France 24 des familles expulsées la semaine dernière de l'un de ses villages.
Dans le désert du Néguev, des minorités bédouines palestiniennes redoutent des expulsions forcées. L'État israélien considère qu'elles se sont installées sans permis de construire. Un projet d'expansion d'une route menace plusieurs villages non reconnus. Claire Duhamel et Mohamed Farhat ont rencontré pour France 24 des familles expulsées la semaine dernière de l'un de ses villages.

19.05.2024 à 10:36

En Israël, l'ex-ministre de la Défense Benny Gantz menace de quitter le cabinet de guerre

FRANCE 24

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L'ancien ministre de la Défense et chef du Parti de l'unité nationale Benny Gantz a fixé un ultimatum au Premier ministre israélien pour adopter un "plan d'action" stratégique, notamment sur l'organisation de l'après-guerre dans la bande de Gaza. Sans réponse de Benjamin Netanyahu, il sera "contraint de démissionner du gouvernement".
L'ancien ministre de la Défense et chef du Parti de l'unité nationale Benny Gantz a fixé un ultimatum au Premier ministre israélien pour adopter un "plan d'action" stratégique, notamment sur l'organisation de l'après-guerre dans la bande de Gaza. Sans réponse de Benjamin Netanyahu, il sera "contraint de démissionner du gouvernement".

19.05.2024 à 10:35

Mondiaux de judo: ultime préparation pour Agbégnénou et les Bleus

FRANCE24

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Si Riner ne briguera pas de douzième couronne mondiale à la Mubadala Arena, Agbégnénou (-63 kg) peut elle en décrocher une septième. La judoka de 31 ans, décidée à reconquérir l'or olympique cet été, trois ans après Tokyo, sera la tête d'affiche des Bleus aux Émirats. "Clarisse, elle y va clairement pour qu'il n'y ait pas d'autres personnes avec un autre dossard sur la compétition (olympique), elle veut avoir le dossard or et le dossard rouge", explique Christophe Massina, responsable de l'équipe de France féminine, à l'AFP. Le dossard or sur un kimono désigne le champion olympique en titre. Le rouge, le champion du monde. Agbégnénou compte bien garder les deux. Alors, un an après son sixième sacre mondial à Doha, "elle y va sans se poser de questions, pour la gagne", renchérit Massina. Elle aurait pu faire le choix, comme Teddy Riner (+100 kg) ou encore Romane Dicko (+78 kg), de ne plus sortir combattre. De préférer désormais l'entraînement, à si peu de temps de l'échéance. "Phase foncière" Mais, déjà en 2021, la championne avait décidé de s'engager aux Mondiaux pré-JO. De l'or mondial avant l'or olympique. Après un gros stage de préparation à la Réunion, Agbégnénou est "dans une phase assez foncière de sa préparation" vers les JO et arrivera donc à Abou Dhabi "certainement un peu moins affûtée qu'elle pouvait l'être avant, mais avec par contre cette détermination, où on la connaît bien là-dessus". Comme elle, Amandine Buchard (-52 kg), Marie-Eve Gahie (-70 kg), Madeleine Malonga (-78 kg), et chez les hommes Luka Mkheidze (-60 kg), Walide Khyar (-66 kg), Joan-Benjamin Gaba (-73 kg), Alpha Diallo (-81 kg) et Maxime-Gaël Ngayap Hambou (-90 kg) seront engagés du 19 au 24 mai aux Emirats avant d'enchaîner aux JO. Pour eux, le but est multiple, rappelait Frédérique Jossinet, en charge du haut niveau à la fédération, le 7 mai à l'Insep: il va falloir "chercher des points" au ranking olympique, "chercher des performances, des matches de référence" mais aussi "récolter des éléments" sur son état de forme "physique, psychologique et technico-tactique". "Championnat très dense" Comme pays hôte, la France a la chance d'avoir un représentant dans chaque catégorie aux JO. Ce n'est pas le cas des autres nations et, pour certains athlètes, ces Mondiaux seront cruciaux pour se qualifier. Cela va donner "un championnat du monde très dense, très fort, avec des enjeux pour toutes les nations", relève Jossinet. La médaillée d'argent aux JO d'Athènes en 2004 voit elle aussi ces Mondiaux comme une préparation finale pour les JO: "S'il y a un titre ou une médaille, c'est mieux pour aborder la dernière ligne droite, après, même s'il y a des contre-performances mais qu'on tire les leçons pour être performant aux Jeux, je n'y vois pas trop d'inconvénient". Dès dimanche, la France a de grandes chances de médailles avec Amandine Buchard (-52 kg) et Luka Mkheidze (-60 kg), tous deux médaillés olympiques, qui visent un premier sacre mondial. Mercredi, la catégorie des -78 kg réservera un autre temps fort. Madeleine Malonga, choisie par l'équipe de France pour les Jeux, retrouvera Audrey Tcheuméo, sacrée championne d'Europe fin avril pour la cinquième fois malgré sa déception de ne pas avoir été retenue. Pour les jeunes Faïza Mokdar (-57 kg), Léa Fontaine (+78 kg) ou Romain Valadier-Picard (-60 kg) et les autres non sélectionnés pour les Jeux, ces Mondiaux sont "justement l'opportunité de ramener une médaille mondiale, voire un titre", souligne Massina. Enfin, la compétition mixte par équipes clôturera les débats vendredi prochain. L'objectif: battre pour la première fois aux mondiaux les Japonais, invaincus depuis l'instauration de cette épreuve en 2017. Au bon souvenir des JO de Tokyo en 2021, quand les Bleus avaient chipé l'or olympique aux Nippons, chez eux.
Texte intégral (692 mots)
Si Riner ne briguera pas de douzième couronne mondiale à la Mubadala Arena, Agbégnénou (-63 kg) peut elle en décrocher une septième. La judoka de 31 ans, décidée à reconquérir l'or olympique cet été, trois ans après Tokyo, sera la tête d'affiche des Bleus aux Émirats. "Clarisse, elle y va clairement pour qu'il n'y ait pas d'autres personnes avec un autre dossard sur la compétition (olympique), elle veut avoir le dossard or et le dossard rouge", explique Christophe Massina, responsable de l'équipe de France féminine, à l'AFP. Le dossard or sur un kimono désigne le champion olympique en titre. Le rouge, le champion du monde. Agbégnénou compte bien garder les deux. Alors, un an après son sixième sacre mondial à Doha, "elle y va sans se poser de questions, pour la gagne", renchérit Massina. Elle aurait pu faire le choix, comme Teddy Riner (+100 kg) ou encore Romane Dicko (+78 kg), de ne plus sortir combattre. De préférer désormais l'entraînement, à si peu de temps de l'échéance. "Phase foncière" Mais, déjà en 2021, la championne avait décidé de s'engager aux Mondiaux pré-JO. De l'or mondial avant l'or olympique. Après un gros stage de préparation à la Réunion, Agbégnénou est "dans une phase assez foncière de sa préparation" vers les JO et arrivera donc à Abou Dhabi "certainement un peu moins affûtée qu'elle pouvait l'être avant, mais avec par contre cette détermination, où on la connaît bien là-dessus". Comme elle, Amandine Buchard (-52 kg), Marie-Eve Gahie (-70 kg), Madeleine Malonga (-78 kg), et chez les hommes Luka Mkheidze (-60 kg), Walide Khyar (-66 kg), Joan-Benjamin Gaba (-73 kg), Alpha Diallo (-81 kg) et Maxime-Gaël Ngayap Hambou (-90 kg) seront engagés du 19 au 24 mai aux Emirats avant d'enchaîner aux JO. Pour eux, le but est multiple, rappelait Frédérique Jossinet, en charge du haut niveau à la fédération, le 7 mai à l'Insep: il va falloir "chercher des points" au ranking olympique, "chercher des performances, des matches de référence" mais aussi "récolter des éléments" sur son état de forme "physique, psychologique et technico-tactique". "Championnat très dense" Comme pays hôte, la France a la chance d'avoir un représentant dans chaque catégorie aux JO. Ce n'est pas le cas des autres nations et, pour certains athlètes, ces Mondiaux seront cruciaux pour se qualifier. Cela va donner "un championnat du monde très dense, très fort, avec des enjeux pour toutes les nations", relève Jossinet. La médaillée d'argent aux JO d'Athènes en 2004 voit elle aussi ces Mondiaux comme une préparation finale pour les JO: "S'il y a un titre ou une médaille, c'est mieux pour aborder la dernière ligne droite, après, même s'il y a des contre-performances mais qu'on tire les leçons pour être performant aux Jeux, je n'y vois pas trop d'inconvénient". Dès dimanche, la France a de grandes chances de médailles avec Amandine Buchard (-52 kg) et Luka Mkheidze (-60 kg), tous deux médaillés olympiques, qui visent un premier sacre mondial. Mercredi, la catégorie des -78 kg réservera un autre temps fort. Madeleine Malonga, choisie par l'équipe de France pour les Jeux, retrouvera Audrey Tcheuméo, sacrée championne d'Europe fin avril pour la cinquième fois malgré sa déception de ne pas avoir été retenue. Pour les jeunes Faïza Mokdar (-57 kg), Léa Fontaine (+78 kg) ou Romain Valadier-Picard (-60 kg) et les autres non sélectionnés pour les Jeux, ces Mondiaux sont "justement l'opportunité de ramener une médaille mondiale, voire un titre", souligne Massina. Enfin, la compétition mixte par équipes clôturera les débats vendredi prochain. L'objectif: battre pour la première fois aux mondiaux les Japonais, invaincus depuis l'instauration de cette épreuve en 2017. Au bon souvenir des JO de Tokyo en 2021, quand les Bleus avaient chipé l'or olympique aux Nippons, chez eux.

19.05.2024 à 10:35

L1: au PSG, Luis Enrique s'apprête à faire le tri

FRANCE24

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Luis Enrique, qui a beaucoup protégé ses joueurs dans ses propos à la presse au cours de la saison, a changé de tonalité depuis le revers à domicile contre Toulouse (1-3), qui a teinté d'amertume la soirée de célébration du titre dimanche dernier au Parc des Princes. "Nous sommes très déçus", avait-il d'abord lâché alors que le trophée venait d'être soulevé. Mardi, en conférence de presse avant le match en retard à Nice (2-1), il a mis une grosse pression sur ses joueurs, très inhabituelle. "J'ai dit à mes joueurs, aucun des matches joués avec le maillot du PSG ne peut être quelconque. Ces matches à venir sont sans enjeu puisque nous avons gagné la Ligue 1 mais il y a la finale de Coupe de France (le 25 mai à Villeneuve-d'Ascq contre Lyon, NDLR) et il faut arriver préparés", a-t-il prévenu. "Message clair" Au-delà de cet objectif majeur de la saison qu'est la Coupe de France, que le PSG n'a plus gagnée depuis trois ans, Luis Enrique veut insuffler une rage de vaincre permanente à ses joueurs: "Ce qui importe, c'est qui veut porter les couleurs, qui veut représenter la capitale, les supporters, se donner à 100% que ce soit en match amical ou en finale de la Ligue des champions". Et l'Espagnol de manier le bâton: "Tous les joueurs ne peuvent pas jouer au PSG, l'attitude, l'engagement doivent toujours être à leur maximum. Celui qui n'est pas préparé, qui ne veut jouer que quand ça l'intéresse, qui a d'autres priorités liées a des intérêts individuels qui ne sont pas ceux de l'équipe, ça ne m'intéresse pas, et il ne jouera pas au PSG, c'est un message clair et direct". La mention d'"intérêts individuels" fait penser à Kylian Mbappé, contre qui l'entraîneur a mené une guerre froide en seconde partie de saison, mais de fait l'entraîneur ne le vise qu'à la marge. En effet, la superstar va partir cet été et la question de son amour des "couleurs" ne se posera plus. Deux options à chaque poste Luis Enrique est plutôt mécontent de l'attitude et du niveau de joueurs qui ont, pourtant, encore tout à prouver: Carlos Soler, Marco Asensio, Lee Kang-in, Manuel Ugarte ou encore Milan Skriniar, titulaires lors de la déroute contre Toulouse. Interrogé, par exemple, sur Ugarte, recrue à 60 millions d'euros l'été dernier, le coach ne l'a pas défendu, renvoyant à plus tard le "bilan" à son sujet. Le PSG ne dispose pas en l'état d'un "deuxième onze" compétitif, un problème quand Luis Enrique dit vouloir disposer de "deux options à chaque poste". Il a d'ailleurs brandi la menace du recrutement très fourni que le PSG devrait effectuer lors du mercato, grâce à des marges financières énormes après le départ de Mbappé: "Il va y avoir un renfort dans chaque ligne, ça c'est aussi un message pour les joueurs actuels, je veux deux joueurs pour chaque poste, que ça soit dur de jouer au PSG". "L'équipe doit être à la hauteur du club, et des supporters, celui qui n'est pas dans cet esprit ne pourra pas s'inscrire dans l'avenir du club", "il faut vouloir être un joueur différent", "on va voir qui peut l'être" en cette fin de saison..., a-t-il averti. L'équipe remaniée qui s'est présentée à Nice a visiblement entendu le message en allant gagner de manière convaincante contre l'un des deux seuls clubs à avoir infligé au PSG une défaite en Ligue 1 cette saison. A Metz, Luis Enrique attend que les joueurs cadres dont il s'est passé à Nice suivent l'exemple: Kylian Mbappé -dont ce sera le dernier match en Ligue 1, avant son ultime match avec le PSG en Coupe de France-, Ousmane Dembélé, Achraf Hakimi ou encore Nuno Mendes.
Texte intégral (649 mots)
Luis Enrique, qui a beaucoup protégé ses joueurs dans ses propos à la presse au cours de la saison, a changé de tonalité depuis le revers à domicile contre Toulouse (1-3), qui a teinté d'amertume la soirée de célébration du titre dimanche dernier au Parc des Princes. "Nous sommes très déçus", avait-il d'abord lâché alors que le trophée venait d'être soulevé. Mardi, en conférence de presse avant le match en retard à Nice (2-1), il a mis une grosse pression sur ses joueurs, très inhabituelle. "J'ai dit à mes joueurs, aucun des matches joués avec le maillot du PSG ne peut être quelconque. Ces matches à venir sont sans enjeu puisque nous avons gagné la Ligue 1 mais il y a la finale de Coupe de France (le 25 mai à Villeneuve-d'Ascq contre Lyon, NDLR) et il faut arriver préparés", a-t-il prévenu. "Message clair" Au-delà de cet objectif majeur de la saison qu'est la Coupe de France, que le PSG n'a plus gagnée depuis trois ans, Luis Enrique veut insuffler une rage de vaincre permanente à ses joueurs: "Ce qui importe, c'est qui veut porter les couleurs, qui veut représenter la capitale, les supporters, se donner à 100% que ce soit en match amical ou en finale de la Ligue des champions". Et l'Espagnol de manier le bâton: "Tous les joueurs ne peuvent pas jouer au PSG, l'attitude, l'engagement doivent toujours être à leur maximum. Celui qui n'est pas préparé, qui ne veut jouer que quand ça l'intéresse, qui a d'autres priorités liées a des intérêts individuels qui ne sont pas ceux de l'équipe, ça ne m'intéresse pas, et il ne jouera pas au PSG, c'est un message clair et direct". La mention d'"intérêts individuels" fait penser à Kylian Mbappé, contre qui l'entraîneur a mené une guerre froide en seconde partie de saison, mais de fait l'entraîneur ne le vise qu'à la marge. En effet, la superstar va partir cet été et la question de son amour des "couleurs" ne se posera plus. Deux options à chaque poste Luis Enrique est plutôt mécontent de l'attitude et du niveau de joueurs qui ont, pourtant, encore tout à prouver: Carlos Soler, Marco Asensio, Lee Kang-in, Manuel Ugarte ou encore Milan Skriniar, titulaires lors de la déroute contre Toulouse. Interrogé, par exemple, sur Ugarte, recrue à 60 millions d'euros l'été dernier, le coach ne l'a pas défendu, renvoyant à plus tard le "bilan" à son sujet. Le PSG ne dispose pas en l'état d'un "deuxième onze" compétitif, un problème quand Luis Enrique dit vouloir disposer de "deux options à chaque poste". Il a d'ailleurs brandi la menace du recrutement très fourni que le PSG devrait effectuer lors du mercato, grâce à des marges financières énormes après le départ de Mbappé: "Il va y avoir un renfort dans chaque ligne, ça c'est aussi un message pour les joueurs actuels, je veux deux joueurs pour chaque poste, que ça soit dur de jouer au PSG". "L'équipe doit être à la hauteur du club, et des supporters, celui qui n'est pas dans cet esprit ne pourra pas s'inscrire dans l'avenir du club", "il faut vouloir être un joueur différent", "on va voir qui peut l'être" en cette fin de saison..., a-t-il averti. L'équipe remaniée qui s'est présentée à Nice a visiblement entendu le message en allant gagner de manière convaincante contre l'un des deux seuls clubs à avoir infligé au PSG une défaite en Ligue 1 cette saison. A Metz, Luis Enrique attend que les joueurs cadres dont il s'est passé à Nice suivent l'exemple: Kylian Mbappé -dont ce sera le dernier match en Ligue 1, avant son ultime match avec le PSG en Coupe de France-, Ousmane Dembélé, Achraf Hakimi ou encore Nuno Mendes.

19.05.2024 à 10:33

L1: L'OM un peu pour le miracle, beaucoup pour l'amour-propre et Gasset

FRANCE24

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"Je pense que dimanche, c'est le dernier match de ma carrière. Que je reste dans le foot, qu'on se serve de mon expérience, de mes idées, de mes réseaux, c'est possible. Et puis je ne sais pas jardiner, donc je n'aurai rien à faire. Mais entraineur, c'est terminé", a déclaré Gasset vendredi en conférence de presse avant la 34e et ultime journée de Ligue 1. A 70 ans, l'Héraultais va donc raccrocher sa casquette dimanche au Havre et il a bien fait comprendre vendredi qu'il aimerait finir sur une victoire, ce qu'il a répété trois fois. Mais ses joueurs sont-ils sur la même longueur d'ondes ? Alors qu'une victoire à Reims les aurait replacés à la 6e place et les aurait laissés maîtres de leur destin, les Marseillais sont en effet tombés (1-0) sans beaucoup combattre, alourdissant encore un peu plus leur terrible bilan à l'extérieur, l'avant-dernier du championnat. "Il n’y a pas d’explication, on n’est pas à la hauteur, je ne sais pas quoi dire. Les supporteurs et le club méritent beaucoup mieux. C’est à l'image de toute notre saison et il faut l’assumer. On a fait de la merde", a réagi le défenseur central Leonardo Balerdi après le match. "Je crois qu’on est la pire équipe à l’extérieur. Il faut être honnêtes avec nous-mêmes et assumer ce qu’on fait. Quelque chose n’a pas fonctionné et ce n’est pas à cause des coaches, ce sont surtout les joueurs qui n’ont pas été à la hauteur", a de son côté jugé le gardien de but Pau Lopez. "On a montré cette saison qu'on n'avait pas le niveau pour jouer à l'OM", a ajouté l'Espagnol. "C'est nul" Une fois ce constat posé, l'OM a tout de même un dernier match à jouer dimanche et les Marseillais connaissent les conditions d'une qualification européenne, qui s'apparentent à un demi-miracle. Pour espérer rester sur la scène européenne, qu'ils n'ont plus quittée depuis la saison 2019-2020, les coéquipiers du capitaine Samuel Gigot doivent en effet gagner au Havre et voir Lens (6e) et Lyon (7e) s'incliner à domicile, respectivement contre Montpellier et Strasbourg. En cas de défaite d'un seul de leurs deux rivaux, les Marseillais auraient une "dernière dernière chance", une victoire du Paris SG face à Lyon en finale de la Coupe de France offrant un strapontin pour la Ligue Europa Conférence au 7e du championnat. "On n'a plus notre destin en mains, mais même s'il ne reste que 1% de chances, il faut gagner ce dernier match et je veux le gagner. Je n'ai qu'une envie, c'est de finir sur une bonne note et ne pas avoir de regrets. On fait le travail jusqu'au bout", a lancé Gasset vendredi. "Il faut gagner au Havre. S'il y a un miracle, tant mieux. Ca peut arriver, mais je veux être clair, le plus important est de gagner, on ne peut pas finir comme ça", a de son côté assuré Pau Lopez, qui a rappelé qu'il était au moins autant question d'amour-propre et de respect que d'ambitions européennes. "Avec la saison qu'on a faite à domicile, il aurait suffi de gagner quelques matches à l'extérieur et on aurait été bien. Mais deux victoires en déplacement, c'est nul. On doit chercher la victoire pour le coach et les supporters plus que pour le miracle."
Texte intégral (580 mots)
"Je pense que dimanche, c'est le dernier match de ma carrière. Que je reste dans le foot, qu'on se serve de mon expérience, de mes idées, de mes réseaux, c'est possible. Et puis je ne sais pas jardiner, donc je n'aurai rien à faire. Mais entraineur, c'est terminé", a déclaré Gasset vendredi en conférence de presse avant la 34e et ultime journée de Ligue 1. A 70 ans, l'Héraultais va donc raccrocher sa casquette dimanche au Havre et il a bien fait comprendre vendredi qu'il aimerait finir sur une victoire, ce qu'il a répété trois fois. Mais ses joueurs sont-ils sur la même longueur d'ondes ? Alors qu'une victoire à Reims les aurait replacés à la 6e place et les aurait laissés maîtres de leur destin, les Marseillais sont en effet tombés (1-0) sans beaucoup combattre, alourdissant encore un peu plus leur terrible bilan à l'extérieur, l'avant-dernier du championnat. "Il n’y a pas d’explication, on n’est pas à la hauteur, je ne sais pas quoi dire. Les supporteurs et le club méritent beaucoup mieux. C’est à l'image de toute notre saison et il faut l’assumer. On a fait de la merde", a réagi le défenseur central Leonardo Balerdi après le match. "Je crois qu’on est la pire équipe à l’extérieur. Il faut être honnêtes avec nous-mêmes et assumer ce qu’on fait. Quelque chose n’a pas fonctionné et ce n’est pas à cause des coaches, ce sont surtout les joueurs qui n’ont pas été à la hauteur", a de son côté jugé le gardien de but Pau Lopez. "On a montré cette saison qu'on n'avait pas le niveau pour jouer à l'OM", a ajouté l'Espagnol. "C'est nul" Une fois ce constat posé, l'OM a tout de même un dernier match à jouer dimanche et les Marseillais connaissent les conditions d'une qualification européenne, qui s'apparentent à un demi-miracle. Pour espérer rester sur la scène européenne, qu'ils n'ont plus quittée depuis la saison 2019-2020, les coéquipiers du capitaine Samuel Gigot doivent en effet gagner au Havre et voir Lens (6e) et Lyon (7e) s'incliner à domicile, respectivement contre Montpellier et Strasbourg. En cas de défaite d'un seul de leurs deux rivaux, les Marseillais auraient une "dernière dernière chance", une victoire du Paris SG face à Lyon en finale de la Coupe de France offrant un strapontin pour la Ligue Europa Conférence au 7e du championnat. "On n'a plus notre destin en mains, mais même s'il ne reste que 1% de chances, il faut gagner ce dernier match et je veux le gagner. Je n'ai qu'une envie, c'est de finir sur une bonne note et ne pas avoir de regrets. On fait le travail jusqu'au bout", a lancé Gasset vendredi. "Il faut gagner au Havre. S'il y a un miracle, tant mieux. Ca peut arriver, mais je veux être clair, le plus important est de gagner, on ne peut pas finir comme ça", a de son côté assuré Pau Lopez, qui a rappelé qu'il était au moins autant question d'amour-propre et de respect que d'ambitions européennes. "Avec la saison qu'on a faite à domicile, il aurait suffi de gagner quelques matches à l'extérieur et on aurait été bien. Mais deux victoires en déplacement, c'est nul. On doit chercher la victoire pour le coach et les supporters plus que pour le miracle."

19.05.2024 à 10:33

Inondations dans l'Est: "la décrue est bien avancée"

FRANCE24

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"La décrue est bien avancée, nous sommes en train de retirer l'ensemble des matériels de protection", se réjouit Bruno Minutiello, président de la communauté de communes du Territoire de Lunéville à Baccarat (Meurthe-et-Moselle), ne mentionnant aucun incident significatif. "La nuit a été calme, aucune habitation n'a été inondée", confirme la maire de Lunéville, Catherine Paillard. En Moselle, l'heure est également à la décrue pour la Nied, en vigilance rouge samedi mais rétrogradée en orange dimanche. "La rue principale est libre, l'eau s'est retirée, toutes les habitations sont accessibles, alors qu'hier des gens avaient 1,50 mètre d'eau dans leur maison", explique René Kupperschmit, maire de Filstroff (Moselle), évoquant le ravitaillement en nourriture de certaines familles par le club de kayak local. "La décrue s'est faite avec une vitesse incroyable. Aujourd'hui les gens nettoient, je pense que le préfet va prendre un arrêté de catastrophe naturelle pour tout le secteur", a-t-il complété. Mais plus en amont, à Ancerville (Moselle), la décrue n'était pas encore observée, la Nied atteignant 2,64 mètres dimanche matin, contre 0,65 mètre jeudi. "L'eau recouvre encore les deux routes départementales sur une trentaine de centimètres de haut, le passage est très difficile. Mais les maisons ne sont pas inondées, ça affecte surtout les déplacements", note le maire, Patrick Angelaud. Dans le Bas-Rhin, "d'une manière générale, la décrue s'amorce sur la majorité des cours d'eau, même si certains secteurs restent sous surveillance", indique la préfecture dans un communiqué. Une vingtaine de routes départementales restent inaccessibles, mais "la situation se normalise petit à petit". La préfète a annoncé qu'elle soutiendrait les demandes de reconnaissance de l'état de "catastrophe naturelle" par les communes sinistrées. Une vigilance jaune aux orages concerne cependant 76 départements dimanche, dont ceux de la région Grand Est, et fait craindre de nouvelles précipitations.
Lire plus (330 mots)
"La décrue est bien avancée, nous sommes en train de retirer l'ensemble des matériels de protection", se réjouit Bruno Minutiello, président de la communauté de communes du Territoire de Lunéville à Baccarat (Meurthe-et-Moselle), ne mentionnant aucun incident significatif. "La nuit a été calme, aucune habitation n'a été inondée", confirme la maire de Lunéville, Catherine Paillard. En Moselle, l'heure est également à la décrue pour la Nied, en vigilance rouge samedi mais rétrogradée en orange dimanche. "La rue principale est libre, l'eau s'est retirée, toutes les habitations sont accessibles, alors qu'hier des gens avaient 1,50 mètre d'eau dans leur maison", explique René Kupperschmit, maire de Filstroff (Moselle), évoquant le ravitaillement en nourriture de certaines familles par le club de kayak local. "La décrue s'est faite avec une vitesse incroyable. Aujourd'hui les gens nettoient, je pense que le préfet va prendre un arrêté de catastrophe naturelle pour tout le secteur", a-t-il complété. Mais plus en amont, à Ancerville (Moselle), la décrue n'était pas encore observée, la Nied atteignant 2,64 mètres dimanche matin, contre 0,65 mètre jeudi. "L'eau recouvre encore les deux routes départementales sur une trentaine de centimètres de haut, le passage est très difficile. Mais les maisons ne sont pas inondées, ça affecte surtout les déplacements", note le maire, Patrick Angelaud. Dans le Bas-Rhin, "d'une manière générale, la décrue s'amorce sur la majorité des cours d'eau, même si certains secteurs restent sous surveillance", indique la préfecture dans un communiqué. Une vingtaine de routes départementales restent inaccessibles, mais "la situation se normalise petit à petit". La préfète a annoncé qu'elle soutiendrait les demandes de reconnaissance de l'état de "catastrophe naturelle" par les communes sinistrées. Une vigilance jaune aux orages concerne cependant 76 départements dimanche, dont ceux de la région Grand Est, et fait craindre de nouvelles précipitations.

19.05.2024 à 10:31

L1: à Lens, un point pour l'Europe et la fin heureuse d'une saison inégale

FRANCE24

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Un point, c'est tout. Sixième avec cinquante points, soit le même total que Lyon (septième), Lens n'a besoin que d'un match nul pour valider sa qualification pour une compétition continentale la saison prochaine. Ce sera la Ligue Europa ou bien la Ligue Europa Conférence, selon les résultats de l'OL face à Strasbourg puis contre le Paris Saint-Germain en finale de la Coupe de France. Tout cela n'est possible que grâce à la défaite de Marseille (47 points) à Reims en milieu de semaine, qui a soulagé les Sang et Or. "C'est bien d'avoir notre destin entre nos mains et de ne regarder que notre match", se réjouit l'entraîneur Franck Haise, tandis que le milieu de terrain Nampalys Mendy affirme que "ç'a été de l'énergie, une motivation en plus" pour le groupe. L'occasion est donc belle pour le club de l'Artois - qui jouera probablement sans son gardien et capitaine Brice Samba, blessé - de finir sa saison faite de montagnes russes en beauté, face aux Héraultais, coincés pour de bon dans le milieu du classement (douzièmes). "On peut être assez fier" "Évidemment qu'après la saison qu'on a vécue, dans ses grands moments et dans ses moments difficiles, de jouer une place européenne à la dernière journée, c'est une très grande satisfaction, commente Franck Haise. Mais elle ne sera magnifique que s'il y a une récompense. Je crois qu'on peut être assez fier de ce qu'on a réalisé, malgré les moments difficiles." Au premier rang de ceux-ci, il y a eu le démarrage terrible en championnat, ponctué par quatre défaites et un match nul lors des cinq premières rencontres, qui l'ont d'emblée positionné en queue de classement. On pouvait alors craindre que les Lensois ne parviennent définitivement pas à tourner la page de la saison extraordinaire qu'ils venaient de conclure à la deuxième place de la Ligue 1. Puis il y eu le déclic à Séville, lors d'une soirée européenne achevée par un match nul (1-1) au Stade Sanchez-Pizjuan. Nullement éblouis par les projecteurs de la Ligue des champions, que nombre d'entre eux ont découvert cette saison, les Lensois ont retrouvé leurs valeurs, se lançant enfin. Troisième d'un groupe relevé où figuraient Arsenal (premier), le PSV Eindhoven (deuxième) et le Séville FC (quatrième), le club du bassin minier (troisième) a eu un parcours honorable. "La plupart des gens dans l'équipe étaient novice, n'avaient pas l'habitude de vivre ce genre de saison avec plusieurs matches, des matches de coupe d'Europe, de championnat, il fallait enchaîner, être performant tout le temps, ce n'était pas évident", rappelle Mendy. Fribourg, le coup dur Exaltés par leur joli parcours en C1, marqué par un exploit au Stade Bollaert contre Arsenal (2-1), les Artésiens redeviennent alors une machine à gagner jusqu'à remonter dans les hautes sphères de la Ligue 1. Puis vient le coup, davantage moral que physique, porté par Fribourg, qui, un soir de février, élimine Lens (3-2) lors d'un barrage d'accession à la Ligue Europa alors même que le RCL menait 2 à 0 à la pause. Depuis, Lens n'a pris que quatorze points en onze rencontres de championnat (33 points possibles), perdant en chemin son habituelle solidité défensive dans le sillage de performances individuelles en baisse. Mais le club a su rester mobilisé, selon Nampalys Mendy: "Ce qui fait qu'on peut rêver d'une place européenne, c'est l'état d'esprit de l'équipe. Tout le monde était impliqué, malgré la difficulté mentale. On a gardé notre objectif." Alors cette place en Europe, à un échelon certes inférieur à celui de la prestigieuse Ligue des champions, serait célébrée dans la joie à Bollaert. Avant le match de dimanche, l'heure sera toutefois au recueillement avec une minute d'applaudissements en hommage aux deux agents pénitentiaires tués mardi dans l'attaque d'un fourgon cellulaire à Incarville (Eure). L'une des deux victimes supportait le RC Lens.
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Un point, c'est tout. Sixième avec cinquante points, soit le même total que Lyon (septième), Lens n'a besoin que d'un match nul pour valider sa qualification pour une compétition continentale la saison prochaine. Ce sera la Ligue Europa ou bien la Ligue Europa Conférence, selon les résultats de l'OL face à Strasbourg puis contre le Paris Saint-Germain en finale de la Coupe de France. Tout cela n'est possible que grâce à la défaite de Marseille (47 points) à Reims en milieu de semaine, qui a soulagé les Sang et Or. "C'est bien d'avoir notre destin entre nos mains et de ne regarder que notre match", se réjouit l'entraîneur Franck Haise, tandis que le milieu de terrain Nampalys Mendy affirme que "ç'a été de l'énergie, une motivation en plus" pour le groupe. L'occasion est donc belle pour le club de l'Artois - qui jouera probablement sans son gardien et capitaine Brice Samba, blessé - de finir sa saison faite de montagnes russes en beauté, face aux Héraultais, coincés pour de bon dans le milieu du classement (douzièmes). "On peut être assez fier" "Évidemment qu'après la saison qu'on a vécue, dans ses grands moments et dans ses moments difficiles, de jouer une place européenne à la dernière journée, c'est une très grande satisfaction, commente Franck Haise. Mais elle ne sera magnifique que s'il y a une récompense. Je crois qu'on peut être assez fier de ce qu'on a réalisé, malgré les moments difficiles." Au premier rang de ceux-ci, il y a eu le démarrage terrible en championnat, ponctué par quatre défaites et un match nul lors des cinq premières rencontres, qui l'ont d'emblée positionné en queue de classement. On pouvait alors craindre que les Lensois ne parviennent définitivement pas à tourner la page de la saison extraordinaire qu'ils venaient de conclure à la deuxième place de la Ligue 1. Puis il y eu le déclic à Séville, lors d'une soirée européenne achevée par un match nul (1-1) au Stade Sanchez-Pizjuan. Nullement éblouis par les projecteurs de la Ligue des champions, que nombre d'entre eux ont découvert cette saison, les Lensois ont retrouvé leurs valeurs, se lançant enfin. Troisième d'un groupe relevé où figuraient Arsenal (premier), le PSV Eindhoven (deuxième) et le Séville FC (quatrième), le club du bassin minier (troisième) a eu un parcours honorable. "La plupart des gens dans l'équipe étaient novice, n'avaient pas l'habitude de vivre ce genre de saison avec plusieurs matches, des matches de coupe d'Europe, de championnat, il fallait enchaîner, être performant tout le temps, ce n'était pas évident", rappelle Mendy. Fribourg, le coup dur Exaltés par leur joli parcours en C1, marqué par un exploit au Stade Bollaert contre Arsenal (2-1), les Artésiens redeviennent alors une machine à gagner jusqu'à remonter dans les hautes sphères de la Ligue 1. Puis vient le coup, davantage moral que physique, porté par Fribourg, qui, un soir de février, élimine Lens (3-2) lors d'un barrage d'accession à la Ligue Europa alors même que le RCL menait 2 à 0 à la pause. Depuis, Lens n'a pris que quatorze points en onze rencontres de championnat (33 points possibles), perdant en chemin son habituelle solidité défensive dans le sillage de performances individuelles en baisse. Mais le club a su rester mobilisé, selon Nampalys Mendy: "Ce qui fait qu'on peut rêver d'une place européenne, c'est l'état d'esprit de l'équipe. Tout le monde était impliqué, malgré la difficulté mentale. On a gardé notre objectif." Alors cette place en Europe, à un échelon certes inférieur à celui de la prestigieuse Ligue des champions, serait célébrée dans la joie à Bollaert. Avant le match de dimanche, l'heure sera toutefois au recueillement avec une minute d'applaudissements en hommage aux deux agents pénitentiaires tués mardi dans l'attaque d'un fourgon cellulaire à Incarville (Eure). L'une des deux victimes supportait le RC Lens.
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