Qu’est-ce qu’une fête foraine ? Que vient y chercher le public ? Comment s’adapter pour le séduire ? En 1988, Agnès Pierron explore les mutations de la fête foraine, alors en déclin face aux parcs d’attractions, et recueille les témoignages de forains des Tuileries et de strip-teaseuses de Pigalle.

Cette émission nous plonge dans la France de 1950, en immersion dans deux fêtes foraines de tradition séculaire : en août, la fête des Loges, dans la forêt de Saint-Germain-en-Laye, puis celle du parc de Saint Cloud en septembre.

En 1996, Ruth Stégassy consacre un numéro des "Mardis du cinéma" à la représentation du monde forain au cinéma. Souvent décor un peu exotique traversé sans s’y attarder par l’action des films censés s’y dérouler, cet univers n’en a pas moins inspiré les plus grands cinéastes.

En 1973, deux forains de deux générations différentes racontent leur métier, entre nostalgie et modernité. Peut-on encore émerveiller quand l’homme a marché sur la Lune ?

En 1999, l’émission au titre énigmatique "Combien de lieues jusqu’à Babylone ?" propose un voyage sonore à travers les souvenirs des manèges et les mirages de l’enfance. Au fil des tours, le limonaire ouvre les portes d’un monde imaginaire où la terre elle-même devient un carrousel.

La fête foraine arrive au village, c'est le temps de s'amuser, de danser, de prendre du plaisir sur les manèges, les attractions et les stands, c'est ce que nous raconte en musique la chanteuse Catherine Sauvage dans cette émission de 1951.

Kiki Bourdier raconte en 1962 son métier de forain, regrettant qu'il ne soit plus ce qu'il avait été, un métier dur mais libre et se souvient de l'époque révolue où, à condition d'être bien dressés, les lions étaient admis à la terrasse des cafés.

Nées au croisement de l’industrie et du spectacle, les fêtes foraines ont façonné l’imaginaire collectif. De la grande roue au boniment des forains, elles sont un espace de rencontre, de transmission et aussi d’innovation technique. Place maintenant aux forains et au rêve sans cesse réinventé...

Cette Nuit d'archives nous immerge dans l’univers sonore des fêtes foraines : récits de forains, ambiances festives, témoignages d’artistes, souvenirs d’enfance et clins d’œil au cinéma et à la chanson révèlent toute la richesse d’un monde à part. Que la fête commence...

A partir du traumatisme de la violente agression homophobe dont il a été victime, Yacine Sif El Islam retrace dans ce monologue le parcours d’une vie marquée trop souvent par l’intolérance.

A l'occasion du festival Reims polar 2025 et de la sortie de son film "Cloud", Mauvais Genres s'entretient avec un des maîtres japonais de l'angoisse : le cinéaste japonais Kiyoshi Kurosawa.

Flavien Bellec et Etienne Blanc adaptent très librement l'Odyssée d'Homère, mettant en scène un groupe d'artistes et leur fabrique d'un spectacle.

Raoul est inclassable. Né au Salvador, élevé par sa mère comme une petite fille, habilleuse de Copi et costumier d'opéra auprès des plus grands, il est devenu (malgré lui ?) comédien. Mais Raoulita est aussi un chanteur au coeur pur et la star du dyptique PORTRAIT DE RAOUL, qui raconte sa vie.

Toutes les déclinaisons du théâtre, des mots à la chanson, pour cette carte blanche du metteur en scène et directeur de théâtre Marcial Di Fonzo Bo. Ce soir on va swinger, mettre des perruques, chanter, habiter, devenir nomade, dire, faire le portrait, et parler d'entre les morts !