Plutôt que de poser un regard paternaliste sur les personnes gravement malades, très âgées ou handicapées, le corps médical comme la société doivent écouter les patients et placer leur volonté au cœur des débats sur la fin de vie, estime Edwige Khaznadar, professeure de lettres honoraire, dans une tribune au « Monde ».
Plutôt que de poser un regard paternaliste sur les personnes gravement malades, très âgées ou handicapées, le corps médical comme la société doivent écouter les patients et placer leur volonté au cœur des débats sur la fin de vie, estime Edwige Khaznadar, professeure de lettres honoraire, dans une tribune au « Monde ».