Jusqu’à quatre mois de prison ferme ont été requis, mercredi, contre les membres d’un groupe d’extrême droite qui avaient manifesté leur hostilité à la participation de la chanteuse franco-malienne à la cérémonie d’ouverture de Jeux olympiques de Paris par une banderole : « Ici c’est Paris, pas le marché de Bamako ! ».
Jusqu’à quatre mois de prison ferme ont été requis, mercredi, contre les membres d’un groupe d’extrême droite qui avaient manifesté leur hostilité à la participation de la chanteuse franco-malienne à la cérémonie d’ouverture de Jeux olympiques de Paris par une banderole : « Ici c’est Paris, pas le marché de Bamako ! ».