Le revirement subit du président américain sur les taxes douanières ne doit tromper personne : s’il a acheté à bon compte l’accalmie sur les marchés financiers, l’heure est plus que jamais à l’incertitude et à la spéculation.

Sous la pression de la rigueur budgétaire et de l’augmentation de l’effort de défense, le Labour veut couper dans les budgets sociaux, au risque de s’aliéner l’aile gauche du mouvement.

Depuis le front de la guerre avec la Russie, l’écrivain fait part des sentiments mêlés qui ont accompagné l’élection de Trump. Une contribution publiée par « Le Monde des livres », pour qui plusieurs auteurs américains et européens ont écrit sur le basculement en cours.

Alors que la nouvelle donne internationale va encore augmenter le chaos environnemental, Alexandre Florentin et Maud Lelièvre, conseillers de Paris et membres de la mission Paris à 50 °C, rappellent, dans une tribune au « Monde », que les collectivités seront aux premières loges des aléas climatiques et que les municipales de 2026 sont donc cruciales sur le front de l’adaptation au réchauffement.

Le romancier américain exprime son indignation devant les actes de l’administration Trump, et en particulier les attaques répétées d’Elon Musk contre le service public. Une contribution publiée par « Le Monde des livres », pour qui plusieurs auteurs américains et européens ont écrit sur le basculement en cours.

L’ancien diplomate Pierre Buhler décrit dans son livre le rôle qu’entend jouer le pays d’Europe centrale, fort de son nouveau poids économique, politique et militaire, en tant que pièce maîtresse du système européen.

Dans une tribune au « Monde », le procureur général près la Cour de cassation alerte sur les risques qu’entraînent les attaques répétées contre l’institution judiciaire.

Le spécialiste du premier amendement de la Constitution des Etats-Unis analyse, dans un entretien au « Monde », les offensives de la Maison Blanche contre les universités et différents pans de la société.

L’élu du Lot (non inscrit, anciennement Les Républicains) estime, dans une tribune au « Monde », que la France glisse sur une pente dangereuse. Il en rend responsable l’ensemble de la classe politique qui transige, selon lui, avec tous les principes républicains.

Le souvenir du « deal » espéré de dénucléarisation de Pyongyang, resté sans lendemain, n’est pas de nature à rassurer ceux qui espèrent que le président américain pourra régler la situation en Ukraine, à Gaza ou en Iran, explique, dans sa chronique, Philippe Ricard, journaliste au « Monde ».

Le dessin paru en une du « Monde » le 9 avril est signé par le dessinateur algérien, membre de l’association Cartooning for Peace.

L’avocat Jérémie Assous, conseil de Gérard Depardieu, répond à une tribune au « Monde » parue le 28 mars, qui dénonçait le sexisme des avocats de la défense lors du procès du comédien.

C’est au nom de la nécessité de « droits de douane réciproques » que Donald Trump justifie sa politique protectionniste. Ambivalent, le concept a changé de camp aux Etats-Unis : instrument de protection du marché américain avant 1934, la réciprocité a été un levier pour ouvrir les marchés par la suite, avant de réintégrer, en 1980, le vocabulaire protectionniste.

L’historien Stéphane Van Damme salue, dans sa Carte blanche au « Monde », la publication d’un livre qui retrace l’histoire des partisans de l’inventeur du vaccin et homme public, Louis Pasteur, et celle de ses adversaires. On y découvre que l’engagement vaccinal est plus politique qu’on ne le croit.

Au lieu d’engager un cycle vertueux de relocalisations et de réindustrialisation, la hausse massive des taxes déclenchée par le président des Etats-Unis risque de précipiter un attentisme pouvant mener à la récession tout en relançant l’inflation.

Les droits de douane imposés par les Etats-Unis pourraient coûter 0,25 % de croissance à l’Europe, estime le gouverneur de la Banque de France, dans un entretien au « Monde ».

Malgré les menaces de Donald Trump, la science se porte bien aux Etats-Unis, avec des dépenses fédérales en matière de recherche et développement de l’ordre de 150 milliards de dollars et des universités privées puissantes, rappelle Philippe Askenazy dans sa chronique.