La transmission patrimoniale renforce les écarts entre ceux qui sont « bien nés » et les autres, qui héritent surtout de la dette publique, affirme dans une tribune au « Monde » un collectif de jeunes dirigeants de la société civile, selon qui il convient de calculer les droits en fonction de ce que chaque individu reçoit au cours de sa vie, et non uniquement de la part du défunt.
La transmission patrimoniale renforce les écarts entre ceux qui sont « bien nés » et les autres, qui héritent surtout de la dette publique, affirme dans une tribune au « Monde » un collectif de jeunes dirigeants de la société civile, selon qui il convient de calculer les droits en fonction de ce que chaque individu reçoit au cours de sa vie, et non uniquement de la part du défunt.