Les Européens ont du mal à tirer la leçon du feuilleton diplomatique de l’été : contrairement à eux, le président américain ne considère pas Vladimir Poutine comme un adversaire, relève, dans sa chronique, Sylvie Kauffmann, éditorialiste au « Monde ».
Les Européens ont du mal à tirer la leçon du feuilleton diplomatique de l’été : contrairement à eux, le président américain ne considère pas Vladimir Poutine comme un adversaire, relève, dans sa chronique, Sylvie Kauffmann, éditorialiste au « Monde ».