Le document publié vendredi 5 décembre par la Maison Blanche, dans lequel les alliances traditionnelles de Washington n’engagent plus à rien, marque une rupture historique avec l’ère post-1945.

Une loi adoptée en novembre oblige le ministère de la justice à rendre publics, d’ici au 19 décembre, l’intégralité des documents non classifiés en sa possession sur Jeffrey Epstein, Ghislaine Maxwell et toutes les personnes impliquées dans l’affaire.

A l’occasion du tirage au sort de la Coupe du monde 2026, vendredi, à Washington, Gianni Infantino a remis au président des Etats-Unis le premier « prix de la paix FIFA », censé récompenser son action extérieure.

Dans un document publié vendredi 5 décembre, le président américain, Donald Trump, définit les priorités de son administration et la nature des relations de son pays avec le reste du monde, donnant au passage une leçon à l’Europe pour qu’elle restaure sa « grandeur ». Extraits.

Ce prix, que le président américain avait estimé « mériter » avant de le recevoir, récompense, selon l’organisation, « les énormes efforts d’individus qui unissent les gens et apportent l’espoir aux générations futures »

Dans une tribune au « Monde », le conseiller spécial à l’Institut Montaigne analyse la manière dont « le pouvoir russe a progressivement éloigné l’Amérique de l’Europe » et s’interroge sur les conséquences de ce nouvel équilibre mondial, notamment dans le cadre des négociations de paix censées mettre un terme à la guerre en Ukraine.

Cette acquisition est la plus grosse opération de consolidation dans le domaine du divertissement depuis le rachat de Fox par Disney, pour 71 milliards de dollars, en 2019.

Washington affirme, dans un texte de 33 pages, que « l’ère des migrations de masse doit prendre fin. La sécurité des frontières est l’élément principal de la sécurité nationale ».

Sous pression américaine, Kigali et Kinshasa ont signé, le 4 décembre, un accord de paix présenté comme « historique » par Donald Trump. Derrière la mise en scène diplomatique, la méfiance reste palpable entre Paul Kagame et Félix Tshisekedi, et les combats se poursuivent dans l’Est congolais.

Le secrétaire à la défense américain est mis en cause par le Congrès pour les frappes contre les bateaux soupçonnés de trafic de drogue dans les Caraïbes et accusé par l’inspection générale de l’administration qu’il dirige d’avoir « créé un risque à la sécurité opérationnelle » en utilisant la messagerie Signal en avril.

L’administration du président Donald Trump et le secrétaire à la défense, Pete Hegseth, sont particulièrement critiqués pour une opération menée au début de septembre dans les eaux internationales.

La plus haute juridiction américaine a annulé, jeudi, une décision de première instance qui avait suspendu l’utilisation de cette carte.

La durée maximale des permis de travail est ramenée de cinq ans à dix-huit mois pour toute une série de catégories d’immigrés, dont les réfugiés et les demandeurs d’asile.

La diplomatie américaine a souhaité rendre hommage au « meilleur négociateur de l’histoire » du pays. C’est ce même institut, créé en 1984, que le président américain a tenté de démanteler dans les premiers mois de son second mandat, limogeant l’essentiel de ses dirigeants.

« Cela va être un grand miracle », a déclaré le président américain, qui a vanté, jeudi, un accord « puissant et détaillé ». D’intenses combats font toujours rage dans l’est de la République démocratique du Congo.

L’homme est poursuivi pour avoir posé des bombes artisanales devant les sièges des partis républicain et démocrate en janvier 2021. Il s’agit de la première arrestation annoncée en plus de quatre ans dans ce dossier.

Un organe indépendant au sein du Pentagone s’est penché sur les informations sensibles partagées sur la messagerie Signal par le ministre de la défense américain au sujet de frappes menées au Yémen, dont le contenu avait été révélé par « The Atlantic ».

La décision a été prise pour permettre aux stations-service situées en dehors de Russie de continuer à fonctionner, a fait savoir, jeudi, le ministère des finances américain.

Le ministère de la défense américain a demandé, en septembre, aux journalistes accrédités de ne plus recueillir ni publier certaines informations sans autorisation explicite de sa part, au risque de perdre leur accréditation.

Le président américain, qui estime avoir été diffamé à la suite d’un montage trompeur d’un de ses discours dans un documentaire diffusé fin 2024, réclame à la chaîne britannique entre 1 et 5 milliards de dollars de dommages, détaille dans sa chronique Alain Frachon, éditorialiste au « Monde ».