Après «la Panthère des neiges», le photographe aborde la transmission, entre son père, son fils, lui-même et le spectateur, de l’observation de la nature. Il détaille ce travail contemplatif et revendique «un militantisme en douceur».
Après «la Panthère des neiges», le photographe aborde la transmission, entre son père, son fils, lui-même et le spectateur, de l’observation de la nature. Il détaille ce travail contemplatif et revendique «un militantisme en douceur».