Une nouvelle enquête de Pierre Bayard et d’Edith la chienne par Clémentine Beauvais, sur le mystère contenu dans un classique de la littérature enfantine.

«Libé» vous guide dans les sorties cinéma de ce mercredi 17 septembre, avec aussi «L’Intérêt d’Adam», «les Tourmentés», «Left-handed girl», «Demon Slayer : la Forteresse infinie». Bandes-annonces à l’appui.

Rêverie séduisante et glacée sur le vampirisme féminin, qui s’épuise hélas dans l’artifice, le quatrième long métrage de Lucile Hadzihalilovic conte l’obsession d’une ado de la campagne pour une star fatale jouée par Marion Cotillard.

Bien qu’il fustige violemment son pays, le film du cinéaste a bénéficié de financements publics israéliens et participerait ainsi, selon les partisans du boycott, à la «normalisation» d’un «système colonial».

La Belge Laura Wandel questionne l’obsession naissante d’une infirmière, portée par la puissante Léa Drucker, pour une mère maltraitant son enfant.

Beau et intelligent, le long métrage de Shih-Ching Tsou dessine les galères d’une gamine taïwanaise et de deux femmes de sa famille, des dettes qui s’accumulent aux vieux mensonges.

Le cinéaste français fait de Niels Schneider, ex-légionnaire paumé, la proie d’une millionnaire braconnière campée par Linh-Dan Pham dans un thriller curieux mais efficace.

Gangster charmeur, homme traqué ou journaliste héroïsé, retour sur les rôles marquants de l’acteur et réalisateur, disparu ce mardi 16 septembre à 89 ans.

Créé dans l’horreur du monde post-7 Octobre, menacé de censure dans son pays, le film contestataire du cinéaste israélien sort ce mercredi à l’issue d’un parcours d’obstacles. Récit d’une production jusqu’au-boutiste.

En narrant la crise morale d’un artiste bouffon à Tel-Aviv qui écume les fêtes de l’oligarchie militaire, le long métrage de Nadav Lapid mène une charge acerbe contre la guerre d’Israël à Gaza.

Porté par la révélation Théodore Pellerin, le premier long métrage de Pauline Loquès dessine le portrait sensible d’un jeune homme lambda dont le quotidien se déforme lentement lorsqu’il apprend être atteint d’un cancer.

Alors que son stand-up autofictionnel tourne toujours, l’autrice présente deux créations qu’elle met en scène, dont Portrait de Rita, où elle explore d’autres vies que la sienne, le racisme et l’exclusion.

Icône dans les années 1970 d’un cinéma américain à la fois engagé et triomphant, incarnation (trop) parfaite du cow-boy blond et séducteur, mentor à Sundance de toute une génération de cinéastes indépendants, la star des «Hommes du Président» et des «Trois Jours du Condor» est morte ce mardi 16 septembre à 89 ans.

Un rapport de l’Adami, organisme qui gère les droits des comédiens, publié lundi 15 septembre, met en lumière la baisse de représentativité des femmes dans la fiction audiovisuelle.

Mnémos réédite le fameux cycle de l’auteur américain, avec en prime le dernier roman inédit en français.

«Libé» vous guide dans les pièces ou spectacles de danse à voir, à Paris ou en régions. A voir aussi : «Une mouette» d’après Tchekhov d’Elsa Granat, «Maintenant je n’écris plus qu’en français» de Viktor Kirilov et «Valentina» de Caroline Guiela Nguyen.

La compositrice et interprète colombienne, aujourd’hui installée aux Etats-Unis, signe «A Danger to Ourselves», un huitième album solo intime et résolument expérimental.

Dans son nouveau recueil, la poétesse tente de saisir ce qu’il reste des images d’une enfance rurale et du déracinement.

Avec «Paris Amour», la chanteuse prolifique aux 25 années de carrière livre un dixième album solaire et stupéfiant, placé sous le signe de la maturité. Et le premier entièrement produit en indépendante.

Succès fracassant en Asie, le premier film d’une trilogie adaptée du manga d’action sort mercredi en France. Fort d’effets spéciaux barjos, il participe de l’émergence d’un nouveau langage de l’anime.

«Jérusalem» et «On ne jouait pas à la pétanque dans le ghetto…» à l’affiche à Paris, explorent avec justesse, force mais aussi humour l’impact des traumatismes familiaux sur le rapport à l’autre d’enfants de survivants de la Shoah ou d’exilés de la Nakba.

Les séries récompensées lors de la 77e édition de l’événement, dans la nuit du dimanche 14 au lundi 15 septembre à Los Angeles, étaient, cette année plus encore que les autres, un miroir du monde actuel.

Rencontre avec la formation incontournable d’indie rock américaine qui, après le départ d’un de ses membres, a dû réinventer sa conception de jouer à plusieurs pour l’album «Double Infinity».

L’insatiable journaliste-animateur de 71 ans se consume depuis un demi-siècle pour Springsteen.

Iconoclaste et farceur, le magicien du son, dont le jazz porte résolument les influences de son Nordeste natal, est mort samedi 13 septembre à l’âge de 89 ans.

Dans «Décrochages», un premier polar très réussi, l’auteur apporte son regard de prof, entre mal-être et passion professionnelle.

Dans la galaxie des musées immersifs, la Cité immersive qui vient d’ouvrir près des Champs-Elysées autour des fables de La Fontaine propose un usage intelligent de ces formats hybrides. En partie financé par le milliardaire d’extrême droite engagé dans une guerre culturelle, y aurait-il un loup dans cette histoire ?

Le dernier ouvrage de l’auteur belge est une déambulation dans son musée mental où cohabitent aplats vibrants, références artistiques et autocitations.

Dans un sensible seul en scène au théâtre de Belleville, l’Ukrainien Viktor Kyrylov raconte comment la guerre a fait naître chez lui un sentiment d’appartenance à son pays qu’il avait quitté pour s’installer à Moscou.

Le créateur de «Mare of Easttown» retrouve le polar d’Amérique rurale et initie quelques bonnes pistes qui ne le sauvent néanmoins pas du formatage.

Le cinéaste suédois revisite un scénario d’Ingmar Bergman, dans lequel un metteur en scène en perdition entretien un adultère fictif, mais aux sentiments bien réels, avec la femme de son meilleur ami.

Chaque week-end, la web radio de «Tsugi» accompagne le cahier musique de «Libération».

L’artiste brésilienne réhabilite la figure de la Vénus noire, à travers une série d’images, d’autoportraits et de dessins où elle tente de se réapproprier une histoire empreinte de la violence coloniale.

Avec l’élégance qui le caractérise, le crooner britannique se réinvente magistralement dans son nouvel album en poussant à fond tous les curseurs électroniques.

Perdus au multiplex, hagards à la librairie, déboussolés devant les plateformes de streaming… Vous ne savez que voir, lire, écouter, faire en cette fin de semaine ? La team Culture vous donne quelques conseils.

Pour le sociologue et peintre Cédric Polère, l’art doit, sans restriction, poser notre rapport sensible au monde, au lieu de se focaliser sur ses médiums ou sur de nouvelles limites à transgresser.

Chaque samedi, le point sur les ouvrages préférés du public. Cette semaine, une enquête en lice pour le Goncourt et une «créature mythologique».

Le mystérieux auteur japonais continue de forer les névroses dans un roman à énigme malin mais parfois trop tarabiscoté.

La romancière se met au chevet d’un condamné qui arrête la chimio espérant vivre pleinement ses derniers mois.

Les pulsions de vie et de mort, l’incommunicabilité, la solitude sont les thèmes de ce roman de l’écrivaine israélienne, dont la narratrice est une femme expatriée aux Etats-Unis.

Parce que ça va mieux en le disant, tour d’horizon des groupes de parole.

Sortie du coffret «I Can’t Give Everything Away» qui compile les albums et une pléthore d’inédits de David Bowie des années 2000 et 2010.

L’autrice de jeunesse, qui s’essaie à la bande dessinée dans une gouache maîtrisée, fait le récit en parallèle de la vie morne d’un incel et d’un salon de manucure. Un récit où s’installe une montée en puissance anxiogène quand les deux mondes se rencontrent.

La chaîne Comedy Central a annulé les rediffusions d’un épisode de la série parodique se moquant de l’influenceur d’extrême droite, tué mercredi 10 septembre.