Pour défendre la justice, malmenée après la décision visant la députée RN, il ne suffit pas de dire qu’elle participe de la souveraineté du peuple. Il faut démontrer qu’elle est accessible, efficace, qu’elle est un outil à disposition des citoyens pour garantir les droits et faire vivre la démocratie, soutient Antoine Mendras, ancien vice-président du tribunal administratif de Paris.
Pour défendre la justice, malmenée après la décision visant la députée RN, il ne suffit pas de dire qu’elle participe de la souveraineté du peuple. Il faut démontrer qu’elle est accessible, efficace, qu’elle est un outil à disposition des citoyens pour garantir les droits et faire vivre la démocratie, soutient Antoine Mendras, ancien vice-président du tribunal administratif de Paris.