Mercredi 16 avril, la juridiction la plus élevée du Royaume-Uni a exclu les personnes transgenres en faisant reposer la définition de «femme» sur le sexe biologique. Une position qui ne défend les femmes «qu’en tant que mères ou épouses, et jamais en tant qu’êtres humains», analyse Maud Royer, autrice de l’essai «le Lobby transphobe».
Mercredi 16 avril, la juridiction la plus élevée du Royaume-Uni a exclu les personnes transgenres en faisant reposer la définition de «femme» sur le sexe biologique. Une position qui ne défend les femmes «qu’en tant que mères ou épouses, et jamais en tant qu’êtres humains», analyse Maud Royer, autrice de l’essai «le Lobby transphobe».