Face aux discours sur la montée du «wokisme» à l’université, une vaste enquête montre qu’en vingt ans, la part des travaux sur le genre et l’intersectionnalité n’a que faiblement progressé, passant de 9% à 11,4% des articles français en sciences sociales, explique Altaïr Despres, membre du collectif de chercheurs qui a mené ce travail.
Face aux discours sur la montée du «wokisme» à l’université, une vaste enquête montre qu’en vingt ans, la part des travaux sur le genre et l’intersectionnalité n’a que faiblement progressé, passant de 9% à 11,4% des articles français en sciences sociales, explique Altaïr Despres, membre du collectif de chercheurs qui a mené ce travail.