Le Premier ministre devra répondre clairement, le 14 mai, aux questions des députés sur l’affaire de violences, notamment sexuelles, entourant l’établissement privé catholique du Béarn. Car jusqu’ici, ses déclarations contradictoires n’ont pas suffi à faire redescendre la pression.
Le Premier ministre devra répondre clairement, le 14 mai, aux questions des députés sur l’affaire de violences, notamment sexuelles, entourant l’établissement privé catholique du Béarn. Car jusqu’ici, ses déclarations contradictoires n’ont pas suffi à faire redescendre la pression.