Dans le cadre d’une enquête en trois volets consacrée aux accusations visant l’artiste, «Libération» revient sur l’une des pierres angulaires de son mode opératoire : la participation de ses victimes à l’élaboration de ses œuvres.

Les autorités sanitaires notent ce mercredi 16 avril des signalements pour des intoxications provoquées par le «gaz hilarant» en hausse de 20 à 30 % sur un an. Deux cas notamment concernent des nourrissons dont la mère en avait consommé.

Alors que plusieurs centres pénitentiaires ont été visés ces derniers jours, «CheckNews» a consulté les comptes sociaux du mystérieux groupe «Défense des droits des prisonniers français», qui multiplie les publications, mêlant discours politique contre le ministre de la Justice et menaces contre les surveillants pénitentiaires.