La rédaction de «Libération» récapitule les principales actualités de ce week-end.

La cheffe de l’extrême droite française entame, dans des confidences à «la Tribune dimanche», sa stratégie médiatique de défense avant son procès : victimisation et soutien a priori sans faille de son héritier désigné.

Le document, qui sera au cœur des discussions lors de la rencontre avec Donald Trump ce dimanche, prévoit des concessions ukrainiennes et ouvre des perspectives économiques aux Etats-Unis. Mais, en l’état, il n’a aucune chance d’être accepté par la Russie.

En 1988 et par écrit, Brigitte Bardot nous parlait de BB avec le recul du temps. Insolente toujours et «un peu revenue de tout».

L’actrice au sourire mystérieux réalise son premier film, qui évoque sa cadette atteinte d’une maladie génétique rare.

Le président ukrainien est attendu à Mar-a-Lago ce dimanche 28 décembre pour poursuivre les négociations avec son homologue américain sur un éventuel accord de paix en Ukraine. Les cinq précédentes rencontres n’avaient pas abouti.

A Conakry, la population s’apprête à adouber l’omniprésent Mamadi Doumbouya, parvenu au pouvoir en 2021 par un coup d’Etat militaire.

Des députés LFI défilent sur le plateau de Paroles d’honneur, média en ligne qui rassemble des anciens du Parti des indigènes de la République, dont Houria Bouteldja, figure polémique qui multiplie les déclarations aux accents racistes et homophobes. Deuxième volet de notre enquête.

La star résumait à ce point les Trente Glorieuses, qu’elle semblait aussi n’en être jamais sortie.

La police a annoncé, samedi 27 décembre, avoir interpellé plusieurs personnes qui ont financé à hauteur de 7 millions d’euros, l’organisation islamiste palestinienne par l’intermédiaire de trois associations d’apparence humanitaire.

Des heurts ont éclaté ce dimanche à Lattaquié entre des Alaouites et les forces de sécurité. Le rassemblement avait été organisé après l’attaque meurtrière d’une mosquée, revendiquée par un groupuscule extrémiste sunnite.

Le gouvernement a annoncé vendredi le report de six mois de ce nouveau dispositif voté par le Parlement. Cela ne signifie pas que les parents d’enfants nés ou adoptés au cours du premier semestre ne pourront pas en profiter. «Libé» fait le point.

La sortie en salles du «Magellan» de Lav Diaz est l’occasion de se plonger dans les pérégrinations du navigateur portugais, avec le récit de l’un des rares survivants de son tour du monde ou le passionnant documentaire remis en ligne sur Arte.tv.

Le cinéaste philippin consacre à l’explorateur un film envoûtant, qui se refuse à toute emphase hagiographique mais s’essouffle par moments dans les contraintes d’un faux biopic.

Disparue ce 28 décembre à 91 ans ans, l’actrice, sex-symbol clivant, ne s’est jamais considérée comme féministe mais a creusé le sillon de la libération des femmes en transformant l’expression du désir en outil d’émancipation.

Se préoccuper du beau n’est pas une tâche superficielle, ni même facile. Le beau n’agit pas en sédatif, il peut au contraire servir de levier d’engagement pour mieux protéger le vivant, pointe la philosophe émerveillée par les Hauts-Plateaux du Vercors.

En décembre 1980, dans les pages de «Sandwich», le supplément de «Libération», la journaliste Germaine Aziz interrogeait Brigitte Bardot à bâtons rompus. Musique, lecture, peur de la mort, éducation des enfants… Plus qu’une interview, la conversation révèle une star en quête éperdue de normalité.

Loïs Boisson, Charlie Dalin, Pauline Ferrand-Prévot et Ousmane Dembélé : retour sur quatre moments clés de l’année sportive.

Bien qu’elle ait mis un terme précoce à sa carrière, Bardot endosse une filmographie relativement conséquente (plus de 45 films) même si très inégale entre les œuvres décisives et les opus anecdotiques. Pour qui n’aurait jamais vu de films avec BB, en voici une sélection pour mieux saisir le phénomène.

Les responsables politiques d’extrême droite n’ont pas tari d’éloges pour célébrer la mémoire de l’icône féminine des années 1960, décédée ce dimanche 28 décembre à l’âge de 91 ans. A gauche, une certaine discrétion est de mise.

Icône du cinéma français, Brigitte Bardot, morte ce 28 décembre à 91 ans s’était aussi muée, au fil des décennies, en figure d’une droite identitaire qu’elle nourrissait de diatribes xénophobes et d’attaques contre l’islam.

De «Sidonie» à «la Madrague», l’actrice morte ce 28 décembre aura promené son aura d’icône libérée dans la chanson pour quelques titres cultes, jusqu’à se glisser avec délice dans les paroles de Gainsbourg.

Idole lumineuse, amie des bêtes, furie d’extrême droite… L’actrice aura autant fasciné que déçu, mêlant son aura quasi mythique à ses combats et ses dérives.

Morte ce dimanche 28 décembre à 91 ans, l’actrice avait tout plaqué en 1973 pour se consacrer aux animaux. Un engagement alors rarissime, et souvent moqué, qu’elle poursuivra jusqu’au bout, saillies racistes comprises.

Le chef de la junte birmane, Min Aung Hlaing, a affirmé que le scrutin législatif qui a eu lieu dimanche, organisé par l’armée, était «libre et équitable», près de cinq ans après sa prise de pouvoir par un coup d’Etat.

Actrice à la carrière fulgurante, symbole malgré elle de la France des années 60, incarnation de la libération sexuelle, elle avait refusé d’être réduite à son statut d’icône, plaquant le cinéma pour se réinventer en pasionaria de la cause animale, proche de l’extrême droite. Suscitant de nombreuses controverses. Elle est morte le 28 décembre à l’âge de 91 ans.

La cuisine est souvent une affaire de transmission, un patrimoine qui raconte une histoire. Dans notre septième épisode, Katrin se souvient d’un goûter préparé par sa mère lorsque les flocons enrobaient le paysage allemand.