Les quatre créateurs de contenu ont fait du sexisme, de la violence ou du mensonge leur business, grâce à leurs énormes et souvent jeunes communautés. Ils seront auditionnés mardi 10 juin par les députés qui souhaitent une meilleure régulation des réseaux sociaux.
Les quatre créateurs de contenu ont fait du sexisme, de la violence ou du mensonge leur business, grâce à leurs énormes et souvent jeunes communautés. Ils seront auditionnés mardi 10 juin par les députés qui souhaitent une meilleure régulation des réseaux sociaux.