Après 39 heures de garde à vue, notre journaliste Ariane Lavrilleux a retrouvé la liberté. Les services de renseignement intérieur lui reprochent d’avoir signé, pour Disclose, une série d’articles basés sur des informations « confidentiel-défense ». Une procédure d’exception dont le seul but est de traquer nos sources.

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Révélations sur une compagnie pétrolière au-dessus des lois

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Enquête sur la dégradation de la santé des femmes au travail, alors qu’elles seront les premières victimes de la réforme des retraites.

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