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25.07.2025 à 15:54

Où voir les emblèmes des JO de Paris-2024, un an après ?

FRANCE24
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Il y a un an, on découvrait les emblèmes des JO de Paris-2024. Anneaux olympiques, vasque, cheval et statues de femmes révélés lors de la cérémonie d’ouverture... Où sont-ils passés ? La bonne nouvelle, c'est qu’il est toujours possible de les voir. Certains sont même devenus de véritables attractions touristiques.
Il y a un an, on découvrait les emblèmes des JO de Paris-2024. Anneaux olympiques, vasque, cheval et statues de femmes révélés lors de la cérémonie d’ouverture... Où sont-ils passés ? La bonne nouvelle, c'est qu’il est toujours possible de les voir. Certains sont même devenus de véritables attractions touristiques.

25.07.2025 à 15:53

La 20e étape du Tour de France: le jour des "survivants"

FRANCE24
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Sauf coup de théâtre, le classement général ne devrait bouger qu'à la marge sur cette étape vallonnée - 184 km, 2.900 m de dénivelé positif - mais pas assez difficile pour imaginer une grosse bataille entre les principaux favoris. "C'est une étape typique pour les baroudeurs, les survivants. Ce sera pour ceux à qui il reste un peu d'énergie, les gros moteurs. Et souvent, ça se fait au couteau", expose Thierry Gouvenou, l'architecte du parcours, à l'AFP. Dans le détail, l'étape propose quatre ascensions répertoriées, une de deuxième catégorie, une de troisième catégorie et deux de quatrième catégorie dont la côte de Longeville (2,5 km à 5,5%) placée à 24 km de l'arrivée, ainsi qu'une succession de petites bosses. La bataille pour l'échappée promet d'être intense, d'autant que les deux tiers des équipes n'ont toujours pas gagné d'étape sur ce Tour et qu'il ne restera ensuite plus qu'une seule occasion, dimanche sur les Champs-Elysées à Paris. Départ de Nantua à 12h05 (réel à 12h15), arrivée à Pontarlier à 16h23 (horaire calculé sur une moyenne de 45 km/h)
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Sauf coup de théâtre, le classement général ne devrait bouger qu'à la marge sur cette étape vallonnée - 184 km, 2.900 m de dénivelé positif - mais pas assez difficile pour imaginer une grosse bataille entre les principaux favoris. "C'est une étape typique pour les baroudeurs, les survivants. Ce sera pour ceux à qui il reste un peu d'énergie, les gros moteurs. Et souvent, ça se fait au couteau", expose Thierry Gouvenou, l'architecte du parcours, à l'AFP. Dans le détail, l'étape propose quatre ascensions répertoriées, une de deuxième catégorie, une de troisième catégorie et deux de quatrième catégorie dont la côte de Longeville (2,5 km à 5,5%) placée à 24 km de l'arrivée, ainsi qu'une succession de petites bosses. La bataille pour l'échappée promet d'être intense, d'autant que les deux tiers des équipes n'ont toujours pas gagné d'étape sur ce Tour et qu'il ne restera ensuite plus qu'une seule occasion, dimanche sur les Champs-Elysées à Paris. Départ de Nantua à 12h05 (réel à 12h15), arrivée à Pontarlier à 16h23 (horaire calculé sur une moyenne de 45 km/h)

25.07.2025 à 15:43

La Cour de cassation annule le mandat d'arrêt visant Bachar al-Assad

FRANCE 24
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Estimant qu'aucune exception ne pouvait lever l'immunité personnelle d'un chef d'État, la Cour de cassation a annulé vendredi le mandat d'arrêt émis par des juges d'instruction parisiens contre l'ex-président syrien Bachar al-Assad pour des attaques chimiques mortelles en 2013.
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Estimant qu'aucune exception ne pouvait lever l'immunité personnelle d'un chef d'État, la Cour de cassation a annulé vendredi le mandat d'arrêt émis par des juges d'instruction parisiens contre l'ex-président syrien Bachar al-Assad pour des attaques chimiques mortelles en 2013.

25.07.2025 à 15:35

Tour Femmes: Ferrand-Prévot s'avance prudemment vers "son rêve de gamine"

FRANCE24
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"Ce n'est pas une obsession comme l'était l'or olympique. Mais c'est un rêve de gamine", a-t-elle expliqué lors d'une visio-conférence organisée mercredi, à trois jours du départ de Vannes. "Je me souviens dire à ma mère que je voulais être un garçon pour faire le Tour de France, maintenant, c'est possible avec les femmes. Et c’est pourquoi je suis revenue sur la route, pour faire le Tour”, a-t-elle ajouté. Après le Graal olympique du VTT sur la colline d'Elancourt l'été dernier, il ne manque plus qu'un succès sur le Tour pour que le bonheur de "PFP" soit complet, elle dont le palmarès est pourtant déjà long comme le bras. Citons ses... quinze titres mondiaux toutes disciplines confondues VTT, cross-country, gravel, cyclo-cross et celui sur route qui remonte déjà à 2014 quand elle était devenue la première Française à ravir le maillot arc-en-ciel depuis Jeannie Longo en 1995. Mais la route n'a jamais vraiment fait partie de ses priorités, malgré un début de carrière prometteur sur l'asphalte avec, notamment un succès dans la Flèche wallonne et une deuxième place au Giro, sa seule véritable référence à ce jour sur une course à étapes. C'était en 2014. Une autre époque. La Rémoise avait alors été devancée de quinze secondes seulement par la Néerlandaise Marianne Vos, aujourd'hui son équipière au sein de la formation Visma-Lease a Bike. "Plus heureuse que nerveuse" Qu'en est-il onze ans plus tard alors que le peloton féminin s'est professionnalisé, que le niveau s'est densifié et que la concurrence est bien plus féroce qu'il y a une décennie ? Ferrand-Prévot, dont les capacités en haute montagne constituent une véritable inconnue, se veut logiquement prudente d'autant plus que sa saison n'a pas été un fleuve tranquille malgré une victoire épatante dans Paris-Roubaix au sortir de l'hiver. La Française n’est plus apparue en compétition officielle depuis son abandon sur la Vuelta en mai dernier, préférant soigner sa cheville après une chute sur les Strade Bianche. Elle a préféré se préparer en altitude et assure être convaincue du bien fondé de sa décision. "Pauline est totalement prête physiquement et mentalement", a assuré mercredi Rutger Tijssen, le manager de Visma. "Ces deux derniers mois, elle a pu se préparer pour le Tour en toute tranquillité. Nous avons délibérément décidé de ne pas participer aux courses et de nous concentrer sur l'entraînement." "Un ultime stage à Tignes (mi-juillet) m’a permis de progresser encore un peu plus, de trouver les derniers pourcentages qui me manquaient un peu et aussi de travailler avec l’équipe. C’était un super stage", complète la coureuse qui se dit "plus heureuse que nerveuse" à quelques heures du départ à Vannes. Une terre bretonne où les deux premières étapes, accidentées, feront déjà office de révélateur quant à sa capacité à suivre les meilleures, à commencer par la Néerlandaise Demi Vollering, la grande favorite. "Bien sûr qu'il y a un peu de pression. Mais c'est de la bonne pression. Et puis je me suis donné trois ans pour jouer la gagne. Cette édition 2025 sera celle de l'apprentissage", tempère-t-elle. Prudente.
Texte intégral (558 mots)
"Ce n'est pas une obsession comme l'était l'or olympique. Mais c'est un rêve de gamine", a-t-elle expliqué lors d'une visio-conférence organisée mercredi, à trois jours du départ de Vannes. "Je me souviens dire à ma mère que je voulais être un garçon pour faire le Tour de France, maintenant, c'est possible avec les femmes. Et c’est pourquoi je suis revenue sur la route, pour faire le Tour”, a-t-elle ajouté. Après le Graal olympique du VTT sur la colline d'Elancourt l'été dernier, il ne manque plus qu'un succès sur le Tour pour que le bonheur de "PFP" soit complet, elle dont le palmarès est pourtant déjà long comme le bras. Citons ses... quinze titres mondiaux toutes disciplines confondues VTT, cross-country, gravel, cyclo-cross et celui sur route qui remonte déjà à 2014 quand elle était devenue la première Française à ravir le maillot arc-en-ciel depuis Jeannie Longo en 1995. Mais la route n'a jamais vraiment fait partie de ses priorités, malgré un début de carrière prometteur sur l'asphalte avec, notamment un succès dans la Flèche wallonne et une deuxième place au Giro, sa seule véritable référence à ce jour sur une course à étapes. C'était en 2014. Une autre époque. La Rémoise avait alors été devancée de quinze secondes seulement par la Néerlandaise Marianne Vos, aujourd'hui son équipière au sein de la formation Visma-Lease a Bike. "Plus heureuse que nerveuse" Qu'en est-il onze ans plus tard alors que le peloton féminin s'est professionnalisé, que le niveau s'est densifié et que la concurrence est bien plus féroce qu'il y a une décennie ? Ferrand-Prévot, dont les capacités en haute montagne constituent une véritable inconnue, se veut logiquement prudente d'autant plus que sa saison n'a pas été un fleuve tranquille malgré une victoire épatante dans Paris-Roubaix au sortir de l'hiver. La Française n’est plus apparue en compétition officielle depuis son abandon sur la Vuelta en mai dernier, préférant soigner sa cheville après une chute sur les Strade Bianche. Elle a préféré se préparer en altitude et assure être convaincue du bien fondé de sa décision. "Pauline est totalement prête physiquement et mentalement", a assuré mercredi Rutger Tijssen, le manager de Visma. "Ces deux derniers mois, elle a pu se préparer pour le Tour en toute tranquillité. Nous avons délibérément décidé de ne pas participer aux courses et de nous concentrer sur l'entraînement." "Un ultime stage à Tignes (mi-juillet) m’a permis de progresser encore un peu plus, de trouver les derniers pourcentages qui me manquaient un peu et aussi de travailler avec l’équipe. C’était un super stage", complète la coureuse qui se dit "plus heureuse que nerveuse" à quelques heures du départ à Vannes. Une terre bretonne où les deux premières étapes, accidentées, feront déjà office de révélateur quant à sa capacité à suivre les meilleures, à commencer par la Néerlandaise Demi Vollering, la grande favorite. "Bien sûr qu'il y a un peu de pression. Mais c'est de la bonne pression. Et puis je me suis donné trois ans pour jouer la gagne. Cette édition 2025 sera celle de l'apprentissage", tempère-t-elle. Prudente.

25.07.2025 à 15:31

Meta renonce aux publicités politiques dans l'UE en accusant Bruxelles

FRANCE24
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"Il s'agit d'une décision difficile", affirme l'entreprise de Mark Zuckerberg, qui pointe du doigt les "incertitudes juridiques" d'un nouveau règlement européen sur la publicité politique. En raison des "exigences impraticables" de Bruxelles, Meta "n'autorisera plus les publicités politiques, électorales et sur les enjeux sociaux sur ses plateformes dans l'Union européenne" à partir du mois d'octobre, affirme le géant des réseaux sociaux dans un communiqué. "Cela ne concerne que les publicités" et n'empêchera pas les citoyens et les responsables politiques de "produire et partager du contenu politique" sur leurs propres pages, ajoute-t-il. Meta a multiplié ces derniers mois les critiques contre la législation européenne. En janvier, dans un mouvement de rapprochement avec Donald Trump, Mark Zuckerberg avait accusé l'Union européenne de censure. Côté administration américaine, le Département d'État a récemment qualifié "d'orwellienne" la régulation de l'Union européenne sur les réseaux sociaux. Adopté en 2024 avec une entrée en vigueur en octobre 2025, le règlement européen sur la publicité politique vise à garantir une plus grande transparence et à se prémunir des ingérences étrangères à l'approche d'élections. Il impose notamment aux plateformes de signaler clairement les publicités à caractère politique et d'indiquer par qui elles sont financées. Le profilage à partir de données personnelles relatives à l'origine ethnique, la religion, l'orientation sexuelle, est interdit, de même que l'utilisation des données relatives à des mineurs. "Aversion à la transparence" L'Union européenne a pris ces mesures à la suite notamment du scandale Cambridge Analytica survenu en 2018. Ce cabinet de conseil britannique avait amassé, sans autorisation et à leur insu, les données personnelles de dizaines de millions d'utilisateurs de Facebook, utilisées ensuite à des fins de ciblage politique durant la campagne électorale américaine 2016 et le référendum sur le Brexit. Meta souligne qu'elle n'est pas la première entreprise à dire qu'elle va renoncer aux publicités politiques dans l'UE, puisque Google l'avait fait fin 2024. "Notre décision concerne uniquement l'Union européenne", "nous continuons à penser que la publicité politique en ligne est un élément essentiel de la politique moderne", assure l'entreprise américaine. Ses plateformes Facebook et Instagram comptent respectivement quelque 261 millions et 272 millions d'utilisateurs actifs mensuels dans l'Union européenne. La loi concerne aussi son application WhatsApp, où a été annoncée en juin l'arrivée de nouvelles fonctionnalités publicitaires. Au Parlement européen, le centriste Sandro Gozi estime que la décision de Meta montre sa "profonde aversion" de la "transparence" sur la publicité et de "la responsabilité démocratique". L'UE s'est dotée d'un arsenal juridique renforcé pour encadrer les grandes entreprises technologiques, ce que Meta critique ouvertement. Le géant américain des réseaux sociaux a annoncé début juillet contester en justice une amende de 200 millions d'euros infligée par la Commission européenne en avril, pour une infraction aux règles encadrant l'usage des données personnelles. Facebook et Instagram font également l'objet de plusieurs enquêtes dans le cadre de la législation européenne sur les services numériques (DSA), pleinement entrée en vigueur l'an dernier pour protéger les internautes contre les contenus jugés dangereux. L'annonce de Meta survient alors que les États-Unis intensifient leurs critiques contre le DSA. Sur les réseaux sociaux mardi, le Département d'État américain a accusé l'Union européenne d'utiliser cette législation pour pratiquer la "censure" et "condamner" des "milliers" d'Européens dont le seul "crime" serait de "critiquer leur propre gouvernement". La Commission européenne rejette régulièrement ces accusations. "La liberté d'expression est un droit fondamental dans l'UE. Et elle est au cœur de notre législation, y compris dans le DSA", a souligné l'un de ses porte-parole, Thomas Regnier. Jim Jordan, proche allié de Trump et président de la commission judiciaire de la Chambre des représentants, rencontrera lundi la commissaire européenne en charge du numérique Henna Virkkunen.
Texte intégral (670 mots)
"Il s'agit d'une décision difficile", affirme l'entreprise de Mark Zuckerberg, qui pointe du doigt les "incertitudes juridiques" d'un nouveau règlement européen sur la publicité politique. En raison des "exigences impraticables" de Bruxelles, Meta "n'autorisera plus les publicités politiques, électorales et sur les enjeux sociaux sur ses plateformes dans l'Union européenne" à partir du mois d'octobre, affirme le géant des réseaux sociaux dans un communiqué. "Cela ne concerne que les publicités" et n'empêchera pas les citoyens et les responsables politiques de "produire et partager du contenu politique" sur leurs propres pages, ajoute-t-il. Meta a multiplié ces derniers mois les critiques contre la législation européenne. En janvier, dans un mouvement de rapprochement avec Donald Trump, Mark Zuckerberg avait accusé l'Union européenne de censure. Côté administration américaine, le Département d'État a récemment qualifié "d'orwellienne" la régulation de l'Union européenne sur les réseaux sociaux. Adopté en 2024 avec une entrée en vigueur en octobre 2025, le règlement européen sur la publicité politique vise à garantir une plus grande transparence et à se prémunir des ingérences étrangères à l'approche d'élections. Il impose notamment aux plateformes de signaler clairement les publicités à caractère politique et d'indiquer par qui elles sont financées. Le profilage à partir de données personnelles relatives à l'origine ethnique, la religion, l'orientation sexuelle, est interdit, de même que l'utilisation des données relatives à des mineurs. "Aversion à la transparence" L'Union européenne a pris ces mesures à la suite notamment du scandale Cambridge Analytica survenu en 2018. Ce cabinet de conseil britannique avait amassé, sans autorisation et à leur insu, les données personnelles de dizaines de millions d'utilisateurs de Facebook, utilisées ensuite à des fins de ciblage politique durant la campagne électorale américaine 2016 et le référendum sur le Brexit. Meta souligne qu'elle n'est pas la première entreprise à dire qu'elle va renoncer aux publicités politiques dans l'UE, puisque Google l'avait fait fin 2024. "Notre décision concerne uniquement l'Union européenne", "nous continuons à penser que la publicité politique en ligne est un élément essentiel de la politique moderne", assure l'entreprise américaine. Ses plateformes Facebook et Instagram comptent respectivement quelque 261 millions et 272 millions d'utilisateurs actifs mensuels dans l'Union européenne. La loi concerne aussi son application WhatsApp, où a été annoncée en juin l'arrivée de nouvelles fonctionnalités publicitaires. Au Parlement européen, le centriste Sandro Gozi estime que la décision de Meta montre sa "profonde aversion" de la "transparence" sur la publicité et de "la responsabilité démocratique". L'UE s'est dotée d'un arsenal juridique renforcé pour encadrer les grandes entreprises technologiques, ce que Meta critique ouvertement. Le géant américain des réseaux sociaux a annoncé début juillet contester en justice une amende de 200 millions d'euros infligée par la Commission européenne en avril, pour une infraction aux règles encadrant l'usage des données personnelles. Facebook et Instagram font également l'objet de plusieurs enquêtes dans le cadre de la législation européenne sur les services numériques (DSA), pleinement entrée en vigueur l'an dernier pour protéger les internautes contre les contenus jugés dangereux. L'annonce de Meta survient alors que les États-Unis intensifient leurs critiques contre le DSA. Sur les réseaux sociaux mardi, le Département d'État américain a accusé l'Union européenne d'utiliser cette législation pour pratiquer la "censure" et "condamner" des "milliers" d'Européens dont le seul "crime" serait de "critiquer leur propre gouvernement". La Commission européenne rejette régulièrement ces accusations. "La liberté d'expression est un droit fondamental dans l'UE. Et elle est au cœur de notre législation, y compris dans le DSA", a souligné l'un de ses porte-parole, Thomas Regnier. Jim Jordan, proche allié de Trump et président de la commission judiciaire de la Chambre des représentants, rencontrera lundi la commissaire européenne en charge du numérique Henna Virkkunen.

25.07.2025 à 15:19

Mondiaux d'escrime: Jean-Philippe Patrice et Pauline Ranvier s'assurent la médaille de bronze

FRANCE24
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Jean-Philippe Patrice, 28 ans, a renversé en quarts son compatriote et champion d'Europe Rémi Garrigue (15-14), avant que Pauline Ranvier ne batte la Canadienne Jessica Guo (15-14). Guo avait auparavant éliminé une autre Française, Eva Lacheray, sacrée le mois dernier aux championnats d'Europe de Gênes. Deux jours après le bronze déjà récolté par Maxime Pauty au fleuret, ses deux compatriotes peuvent espérer mieux s'ils se qualifient pour la finale de leur arme, en fin d'après-midi. Déjà médaillé de bronze à Gênes, Jean-Philippe Patrice, N.4 mondial, poursuit sa très bonne saison de Coupe du monde, au cours de laquelle il a engrangé deux victoires en individuel. Plus tôt dans la journée, son frère cadet et N.1 mondial Sébastien Patrice avait lui été éliminé dès le 2e tour, sorti par le Russe Pavel Graudyn. Pauline Ranvier peut quand à elle essayer de faire aussi bien voire mieux qu'aux Mondiaux de 2019 à Budapest, où elle avait été sacrée vice-championne du monde.
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Jean-Philippe Patrice, 28 ans, a renversé en quarts son compatriote et champion d'Europe Rémi Garrigue (15-14), avant que Pauline Ranvier ne batte la Canadienne Jessica Guo (15-14). Guo avait auparavant éliminé une autre Française, Eva Lacheray, sacrée le mois dernier aux championnats d'Europe de Gênes. Deux jours après le bronze déjà récolté par Maxime Pauty au fleuret, ses deux compatriotes peuvent espérer mieux s'ils se qualifient pour la finale de leur arme, en fin d'après-midi. Déjà médaillé de bronze à Gênes, Jean-Philippe Patrice, N.4 mondial, poursuit sa très bonne saison de Coupe du monde, au cours de laquelle il a engrangé deux victoires en individuel. Plus tôt dans la journée, son frère cadet et N.1 mondial Sébastien Patrice avait lui été éliminé dès le 2e tour, sorti par le Russe Pavel Graudyn. Pauline Ranvier peut quand à elle essayer de faire aussi bien voire mieux qu'aux Mondiaux de 2019 à Budapest, où elle avait été sacrée vice-championne du monde.
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