Un procès historique s'est ouvert mardi 4 novembre matin, à Paris. Celui d'un fleuron industriel très connu, le cimentier Lafarge, soupçonné d'avoir fiancé des groupes terroristes en Syrie. Le groupe est accusé d'avoir payé des djihadistes, de 2012 à 2014 pour pouvoir poursuivre ses activités. L'ex-PDG et d'anciens cadres figurent parmi les prévenus.
Un procès historique s'est ouvert mardi 4 novembre matin, à Paris. Celui d'un fleuron industriel très connu, le cimentier Lafarge, soupçonné d'avoir fiancé des groupes terroristes en Syrie. Le groupe est accusé d'avoir payé des djihadistes, de 2012 à 2014 pour pouvoir poursuivre ses activités. L'ex-PDG et d'anciens cadres figurent parmi les prévenus.