L’historienne Juliette Eyméoud analyse au travers d’une monographie de quatre familles de l’Ancien Régime, comment le célibat a tenu un rôle à part entière dans le rayonnement du capital symbolique et matériel des « maisons », au profit d’une montée du patriarcat.
L’historienne Juliette Eyméoud analyse au travers d’une monographie de quatre familles de l’Ancien Régime, comment le célibat a tenu un rôle à part entière dans le rayonnement du capital symbolique et matériel des « maisons », au profit d’une montée du patriarcat.