En Tunisie, une simple publication sur Facebook peut entraîner des années de prison. Le décret 54, surtout son article 24, est détourné pour réprimer journalistes et citoyen·nes plutôt que lutter contre la cybercriminalité. Malgré les demandes de réforme de plusieurs partis et parlementaires, y compris de la part de parlementaires fidèles au gouvernement, la présidence du Parlement bloque toute initiative législative.