La Néerlandaise de 38 ans s’est imposée au sprint, samedi, à Plumelec, dans le Morbihan. Elle endosse, grâce à cette 258ᵉ victoire en carrière, le maillot jaune de leader au classement général.

Marie-Florence Candassamy, Alexandra Louis-Marie, Eloïse Vanryssel et Lauren Rembi offrent à la délégation tricolore son premier titre aux Mondiaux d’escrime de Tbilissi, en Géorgie.

Les environs de Pokrovsk, dans l’oblast de Donetsk, sont toujours ciblés par les Russes. Les Ukrainiens annoncent y avoir repoussé 51 assauts à partir de différentes localités. L’Ukraine dit aussi avoir abattu 200 drones et missiles russes au cours de la nuit.

L’ancien agent de la direction générale de la sécurité extérieure, interpellé à Strasbourg lundi, avant d’être placé en détention provisoire vendredi, est soupçonné d’avoir commandité des viols d’enfants en Afrique.

Les deux camps, joints par Donald Trump, ont assuré vouloir entamer des discussions, mais les combats ont repris, et chaque pays a accusé l’autre de manquer à sa parole.

Le pays connaît une nouvelle vague de forte chaleur depuis le début de la semaine. L’un des foyers les plus préoccupants se trouve à Drosopigi, dans le nord de l’Attique, à une trentaine de minutes du centre de la capitale, selon les pompiers.

L’Australien Kaden Groves s’est imposé en solitaire, samedi, à la veille de l’épilogue de cette 112e édition de la Grande Boucle. Tadej Pogacar conserve le maillot jaune.

Le coureur australien de l’équipe Alpecin-Deceuninck a décroché, samedi, son premier succès sur la Grande Boucle, en s’imposant en solitaire à Pontarlier (Doubs).

Du 26 juillet au 3 août, les coureuses engagées sur la quatrième édition de la Grande Boucle sillonnent l’Hexagone du Nord-Ouest au Sud-Est, de la Bretagne aux Alpes. Un parcours de 1 165 kilomètres, un record.

Jean-Noël Barrot a appelé la PDG de la compagnie aérienne espagnole pour lui demander des « éléments d’explication », afin de « déterminer si ces compatriotes avaient fait l’objet de discriminations liées à leur confession ».

« On connaît les difficultés budgétaires du moment mais il n’y a aucune raison aujourd’hui qui pourrait expliquer que le sport soit si mal traité », a déclaré l’ancien président du Comité d’organisation des Jeux olympiques 2024, samedi.