Harold Thibault, correspondant du « Monde » à Pékin, répond à vos questions à partir de 16 heures.

Le suspect – qui conteste les faits – et sa compagne, également poursuivie, risquent la réclusion criminelle à perpétuité et une amende de 1 million d’euros.

Ces exécutions publiques se sont déroulées dans trois villes du pays, sous les yeux de dizaines de milliers de spectateurs. Il s’agit du plus grand nombre d’exécutions en une journée depuis le retour au pouvoir des talibans, en 2021.

Le pays, qui compte la plus large population en Europe, hors Russie, avait doublé l’an dernier ses quotas d’abattage de cette espèce, protégée par une directive européenne, devant la multiplication des incidents.

A 32 ans, l’attaquant égyptien s’est engagé pour deux années supplémentaires, vendredi, avec l’actuel de la Premier League.

Susannah Meyers avait pris ses distances avec le vice-président américain J. D. Vance qui, lors de sa visite de la base le 28 mars, avait accusé le Danemark d’avoir négligé la sécurité de son territoire autonome.

Condamné le 27 mars à cinq ans de prison, l’écrivain franco-algérien fait l’objet d’« une attention particulière » de la part d’Alger, selon le président français.

Le tribunal de Nîmes a infligé une amende de 50 000 euros à la société de production pour avoir perturbé une zone Natura 2000 en 2018, causant la perte de 520 œufs, soit 11,5 % de la reproduction annuelle en France de cette espèce protégée.

La cour d’assises du Rhône avait écarté la qualification de meurtre, requise par l’avocat général, à l’encontre de Myriam Jaouen. L’ancienne employée de People & Baby avait été condamnée le 3 avril pour « torture ou actes de barbarie ayant entraîné la mort sans intention de la donner ».

La France insoumise, qui rêve d’instaurer un « protectionnisme solidaire », a cherché à marquer sa différence avec la méthode du président américain, tout comme le député François Ruffin, qui pourfend la mondialisation depuis plus de quinze ans. Mais adopter ce type de mesures est loin d’être aisé, rappellent des économistes.

Le Comité international de la Croix-Rouge estime que « 70 à 80 % des établissements de santé dans les zones touchées par le conflit ne sont plus opérationnels ».