Si les réseaux sociaux et les nouveaux médias sont souvent associés à la désinformation et à la propagande étrangère, dans des pays comme la Serbie ou la Hongrie ce sont davantage les acteurs médiatiques conventionnels qui se livrent à de telles dérives, estiment Sabina Mihelj et Vaclav Stetka, chercheurs spécialistes de la région, dans une tribune au « Monde ».
Si les réseaux sociaux et les nouveaux médias sont souvent associés à la désinformation et à la propagande étrangère, dans des pays comme la Serbie ou la Hongrie ce sont davantage les acteurs médiatiques conventionnels qui se livrent à de telles dérives, estiment Sabina Mihelj et Vaclav Stetka, chercheurs spécialistes de la région, dans une tribune au « Monde ».