Si Marine Le Pen et Jordan Bardella jurent avoir rompu avec les idéologies et n’être guidés que par le « bon sens », les courants identitaires et racialistes continuent à être représentés dans leur entourage, décrypte, dans sa chronique, Philippe Bernard, éditorialiste au « Monde ».
Si Marine Le Pen et Jordan Bardella jurent avoir rompu avec les idéologies et n’être guidés que par le « bon sens », les courants identitaires et racialistes continuent à être représentés dans leur entourage, décrypte, dans sa chronique, Philippe Bernard, éditorialiste au « Monde ».