Sur proposition du musée des Beaux-Arts de la ville, l’écrivaine et journaliste Dorothée-Myriam Kellou a imaginé la «Table de désorientation» pour interroger l’héritage du passé colonial. L’œuvre a été inaugurée ce jeudi 6 novembre.
Sur proposition du musée des Beaux-Arts de la ville, l’écrivaine et journaliste Dorothée-Myriam Kellou a imaginé la «Table de désorientation» pour interroger l’héritage du passé colonial. L’œuvre a été inaugurée ce jeudi 6 novembre.