Un audit mené avant le casse et rendu public ce jeudi 6 novembre met en évidence la préférence du musée pour les «opérations visibles et attractives», comme l’acquisition d’œuvres, et de nombreux manquements dans le déploiement des dispositifs de surveillance.
Un audit mené avant le casse et rendu public ce jeudi 6 novembre met en évidence la préférence du musée pour les «opérations visibles et attractives», comme l’acquisition d’œuvres, et de nombreux manquements dans le déploiement des dispositifs de surveillance.