Bien qu’il fustige violemment son pays, le film du cinéaste a bénéficié de financements publics israéliens et participerait ainsi, selon les partisans du boycott, à la «normalisation» d’un «système colonial».
Bien qu’il fustige violemment son pays, le film du cinéaste a bénéficié de financements publics israéliens et participerait ainsi, selon les partisans du boycott, à la «normalisation» d’un «système colonial».