Des chercheurs ont utilisé les données de 500 pêcheries pour estimer l’évolution des populations de poissons. Entre baisse des effectifs et déplacement des espèces, leurs résultats, publiés ce mardi, montrent que les accords de quotas de pêche existants sont inadaptés.
Des chercheurs ont utilisé les données de 500 pêcheries pour estimer l’évolution des populations de poissons. Entre baisse des effectifs et déplacement des espèces, leurs résultats, publiés ce mardi, montrent que les accords de quotas de pêche existants sont inadaptés.