La Maison Blanche accentue encore sa politique anti-immigration, en justifiant les nouvelles mesures par des menaces «terroristes», notamment après l’attaque d’une marche en soutien aux otages israéliens, le 1er juin dans le Colorado.

Quelques semaines après que l’ancien président a annoncé être atteint d’un cancer, le locataire de la Maison Blanche brandit de nouveau l’épouvantail d’une machination de la précédente administration, qui aurait maquillé «l’état mental» de l’ex-chef d’Etat.

Le président salvadorien, ultra populaire dans son pays pour avoir endigué la criminalité des gangs, multiplie les atteintes aux droits humains pour éteindre toute opposition. Et il s’en gargarise.