La cheffe du file du parti d’extrême droite, qui imaginait pouvoir profiter de la lenteur du calendrier judiciaire pour se présenter à la présidentielle en 2027, voit ses plans brouillés par l’annonce de son audience en appel en janvier.
La cheffe du file du parti d’extrême droite, qui imaginait pouvoir profiter de la lenteur du calendrier judiciaire pour se présenter à la présidentielle en 2027, voit ses plans brouillés par l’annonce de son audience en appel en janvier.