Après l’appel des victimes du chirurgien pédocriminel dans «Libération» à «politiser» les suites du procès, les politiques se réveillent doucement. Mais faute d’annonces, le collectif fraîchement structuré redoute qu’après la tournée des députés et des ministères, l’Etat en reste là.
Après l’appel des victimes du chirurgien pédocriminel dans «Libération» à «politiser» les suites du procès, les politiques se réveillent doucement. Mais faute d’annonces, le collectif fraîchement structuré redoute qu’après la tournée des députés et des ministères, l’Etat en reste là.