Le journal d’extrême droite et l’eurodéputée Laurence Trochu comparaissaient jeudi pour diffamation, injures publiques et provocation à la haine envers les personnes LGBT. Le parquet a demandé la relaxe, tandis que les avocats de la défense ont préféré cibler les parties civiles.
Le journal d’extrême droite et l’eurodéputée Laurence Trochu comparaissaient jeudi pour diffamation, injures publiques et provocation à la haine envers les personnes LGBT. Le parquet a demandé la relaxe, tandis que les avocats de la défense ont préféré cibler les parties civiles.