Quelque 44 700 habitants des villes de Wajima, Suzu et Noto, dans le département d’Ishikawa, ont été forcés de quitter la zone, ont annoncé des responsables locaux.

Le Hezbollah a confirmé, vendredi soir, la mort de son dirigeant Ibrahim Aqil dans un raid israélien sur Beyrouth. L’Etat hébreu a annoncé avoir tué également au moins dix chefs militaires du mouvement chiite lors de cette opération aérienne.

« Je lui ai exposé en intégralité la lutte que nous menons contre le fascisme », a expliqué, de son côté, le président contesté vénézuélien, qui attaque régulièrement ses adversaires en ces termes.

D’autres victimes pourraient être retrouvées sous les décombres après un tir de missile sur un quartier résidentiel de cette ville de l’oblast de Dnipropetrovsk.

Le raid, qui a fait au moins quatorze morts, constitue un nouveau coup dur pour le mouvement libanais après une série d’explosions meurtrières, imputées à l’Etat hébreu, ayant visé cette semaine ses systèmes de transmission. « Très inquiète », l’ONU a appelé à la « désescalade » et à la « retenue maximale ».

Deux ans après le mouvement populaire qui avait chassé du pouvoir le président Rajapaksa, accusé d’avoir fait du pays le plus développé d’Asie du Sud un Etat en faillite, les citoyens sont appelés, samedi, à élire leur nouveau dirigeant.

L’interdiction de rassemblements « revendicatifs », qui concerne aussi Le Lamentin, Ducos et Le Robert, court de vendredi soir à lundi matin, après plusieurs nuits de violences urbaines, dans un contexte de mobilisation contre la vie chère.

Un règlement adopté vendredi prévoit un comptage à la main en plus de celui effectué par les machines, ce qui pourrait retarder la publication des résultats dans cet Etat-clé. En outre, dans l’Arizona, la justice a décidé que près de 98 000 personnes dont les documents de citoyenneté n’avaient pas été confirmés pouvaient voter aux élections.

Michel Barnier a transmis une nouvelle liste de noms au président de la République, Emmanuel Macron. Des hésitations et des crispations persistent dans le camp macroniste. Une partie de la gauche descend de nouveau dans la rue contre le chef de l’Etat et le premier ministre.

C’est la première fois au XXIᵉ siècle qu’une équipe du championnat de France marque autant avant la pause. Du côté stéphanois, l’entraîneur, Olivier Dall’Oglio, a évoqué un « sentiment de honte », et s’est excusé auprès des supporteurs des Verts qui ont quitté l’enceinte après le sixième but.

« Si une partie des membres de l’équipe de repérage ont été très consciencieux, d’autres ont fait preuve de négligence », a précisé le directeur par intérim, vendredi, lors d’une conférence de presse à propos de l’assassinat manqué contre l’ancien président le 13 juillet.