Par l’intermédiaire de son protagoniste, un musicien aussi clownesque que corrompu, Nadav Lapid offre, dans son cinquième long métrage, Oui, un portrait de son pays, Israël, carnavalesque et cinglant, qui n’exclut pourtant pas une certaine beauté.
Par l’intermédiaire de son protagoniste, un musicien aussi clownesque que corrompu, Nadav Lapid offre, dans son cinquième long métrage, Oui, un portrait de son pays, Israël, carnavalesque et cinglant, qui n’exclut pourtant pas une certaine beauté.