Le procès de Gérard Depardieu, accusé d’agressions sexuelles par deux femmes, Amélie, décoratrice et Sarah*, troisième assistante réalisatrice, est finalement reporté aux 24 et 25 mars, l’acteur n’ayant pas pu être présent du fait de son état de santé.
Après les auditions des députés et de leurs collaborateurs, incapables de remettre en cause le bien-fondé de l’accusation, le procès des assistants parlementaires européens du FN va se pencher plus spécifiquement sur le « système » de financement détourné que suspecte la justice.
Dans une tribune, des personnalités, des collectifs et associations dénoncent le discours qui se propage, dans de nombreux médias, invitant à nuancer le crédit à accorder à la parole des victimes de violences sexistes et sexuelles. « Autoriser ces propos, c’est autoriser la violence qui en découle. »